1 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
1 , 26 et 27.) Pour Ambroise, les fils de Sem sont bons , ceux de Cham mauvais, ceux de Japhet « indifférents », c’est-à-dire
2 r analogie avec euboea) il peut aussi signifier «  bon pour les saules » c’est-à-dire « bien irrigué ». Le saule régit le ci
3 st dur de rester. Mais là où c’est plat, c’est un bon pays, et y croissent toutes choses avec une telle abondance qu’on peu
2 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Premiers plans d’union
4 monarque ou empereur. Donc il est évident que la bonne existence du monde exige l’existence de la Monarchie ou de l’Empire.5
5 nom du Saint-Esprit, annoncent : « combien il est bon , combien il est agréable de vivre avec des frères et d’être fondu en
6 ié et déclaré déchu le roi Georges. Celui-ci tint bon cependant ; il mourut sur le trône en 1471. » Le projet présenté à Lo
7 uvre dilatoire. … D’autre part, comme cet acte de bonne intelligence et de charité est fait et établi avant tout à la gloire
3 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — « Têtes de Turcs »
8 conviendrait encores passer outre et trouver des bons expediens pour la continuer au moins l’espace de quatre années. Proj
4 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Les grands desseins du xviie siècle
9 la divinité. Que si aucunes ne choisissent pas le bon chemin ou moyen legitime, c’est plustost par simplicité et mauvaise i
10 e ce qui est loüable en un lieu, n’est pas trouvé bon partout… (Il faut reconnaître que) les hommes sont fort bizarres et q
11 tre chose, maintiendroit les uns et les autres en bonne intelligence, irait au-devant des mescontentemens, et les apoiseroit
12 en a d’autres plus universels, qui concernent la bonne intelligence de tous les souverains respectivement l’un avec l’autre,
13 sait de plus en plus grandement obligé au roi son bon frère, lui ayant ainsi envoyé le plus ancien et confident de ses serv
14 res. Je ne désespère pas si je vous vois goûter à bon escient mes ouvertures, et en embrasser l’exécution, que j’y porte le
15 Diète générale à l’extérieur. Au moins il sera un bon citoyen, pourra rendre des services à la communauté ou prendre sa ret
16 t élevée ; de même le gouvernement se trouvera en bonnes ou mauvaises mains. J’en arrive à la dernière objection : les princes
17 frères, invoquant de toutes leurs forces le Dieu bon et miséricordieux pour le succès de leurs armes dans la destruction d
18 ’honneur de proposer et de réaliser un dessein si bon et si grand revienne à l’Angleterre, parmi les nations de l’Europe, q
19 s mémoires. Homme doux, modeste, remuant pour les bonnes causes, non pour ses intérêts, « solliciteur public », ainsi qu’il ai
20 d l’occasion singulière qui inspira son projet au bon abbé. Au cours d’un voyage en Normandie, durant l’hiver 1706-1707, sa
21 mp; former l’Union européenne sur ce qu’il y a de bon dans ces Unions, & sur tout dans l’Union Germanique composée de p
5 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Perspectives élargies
22 nd Schisme d’Occident, et mettre l’Église dans un bon ordre. Un Souverain qui le veut bien peut préserver ses États de la p
23 irer dans leur pays les sciences, les arts et les bonnes manières particulièrement de notre Europe, et ils se peuvent prester
24 glais, au contraire, sortent d’Angleterre avec de bonnes lettres de change, avec un bel équipage et une grande suite, et font
25 nsation qui se développent au xviiie siècle : le bon sauvage, le Huron sans fraude, l’Hindou tolérant et surtout le Chinoi
26 Voltaire et son Ingénu, Rousseau et son Homme né bon . Autant de pamphlets d’ailleurs, autant de manœuvres politiques et ph
6 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — L’Europe des lumières
27 usseau, et du même coup sur tous les partisans du bon sauvage, du sage Égyptien et du Chinois philosophe — sinon du Huron i
28 va à moitié nus ? A. — Je le crois fermement ; de bonnes maisons, de bons vêtements, de la bonne chère, avec de bonnes lois et
29 . — Je le crois fermement ; de bonnes maisons, de bons vêtements, de la bonne chère, avec de bonnes lois et de la liberté, v
30 ent ; de bonnes maisons, de bons vêtements, de la bonne chère, avec de bonnes lois et de la liberté, valent mieux que la dise
31 ns, de bons vêtements, de la bonne chère, avec de bonnes lois et de la liberté, valent mieux que la disette, l’anarchie et l’e
32 nt supposé les hommes tels qu’ils devraient être, bons , généreux, désintéressés, et aimant le bien public par humanité ; mai
33 ère ses lecteurs : Ceci, me dira-t-on, peut être bon pour une seule ville ; mais que faire quand l’état en comprend plusie
7 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Pendant ce temps, l’Amérique du Nord…
34 ue. Or il faut voir que si cette colonie a trouvé bon de mettre un terme à la désunion de ses États, c’est aussi pour se re
8 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Plans d’union européenne contemporains de la Révolution
35 ent encore que dans les litiges d’ordre privé, la bonne exécution des décisions du Tribunal devrait être assurée par des mesu
9 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Synthèses historico-philosophiques (I)
36 à l’utopie rousseauiste de l’homme naturellement bon , correspond chez Fichte l’utopie de l’État naturellement raisonnable.
37 du monde entier ! Frères, au-delà des étoiles Un bon Père doit habiter. 149. Traduction française par J. Gibelin, Paris,
10 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — L’Europe des adversaires de l’empereur
38 Marcellus) : « Je meurs avec l’Europe, je suis en bonne compagnie. » Dans son livre intitulé Du pape 168, publié deux ans plu
11 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Goethe
39 r dans la mesure du possible ce qui s’y trouve de bon .174 Il n’existe pas d’art patriotique ni de science patriotique. L’u
40 e. L’un et l’autre, comme tout ce qui est haut et bon , appartiennent au monde entier175. … La haine nationale est quelque c
41 Goethe, que l’Allemagne ne devienne pas une ; nos bonnes routes et nos chemins de fer feront le reste. … Qu’elle soit une dans
12 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Synthèses historico-philosophiques (II)
42 ertement que dans l’Allemagne vraiment libre. Les bons esprits de toutes les nations s’étaient secrètement émancipés, et ple
43 re. Pour se convaincre que, si le sentiment reste bon et qu’il demeure chrétiennement parlant unique même dans la vie, l’un
13 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un problème séculaire : la Russie et l’Europe
44 t soudain le vrai danger, contre lequel il serait bon de s’unir et de s’entendre avec les Turcs. Voltaire et ses contempora
45 certitudes se résument en ceci : l’Amérique a un bon siècle d’avance sur la Russie, et l’Europe de l’Ouest devra marcher d
14 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’historisme au pessimisme
46 triotisme « jovial et solennel » : Nous autres «  bons Européens », nous aussi nous avons des heures où nous nous permettons
47 lèbe, pour revenir à la raison, je veux dire au «  bon européanisme ».254 L’exemple privilégié de la musique, cette créati
48 ait encore un sens pour nous, que ce qu’il a de «  bonne compagnie », de tendres ardeurs, de goût enfantin pour la chinoiserie
49 démocrates, ni même assez Allemands, nous autres bons Européens et esprits libres, très libres esprits — nous sentons encor
50  », reste la dernière arme à la disposition des «  bons Européens ». Plutôt la mort que la médiocrité qui vient : Pour la lu
51 en passant par la suite romanesque des Hommes de Bonne Volonté. En pleine guerre des nations, Romains avait lancé un pamphle
52 . Cf., p. 288. 264. Jules Romains, Les Hommes de Bonne Volonté, vol. XIV, p. 293-4. 265. Romain Rolland, Journal des années
15 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
53 suivant : Le monde étant créé par Dieu doit être bon dans son essence. C’est, pourquoi tout ce qui est mérite d’être connu
54 ureuses, il demeure un époux aimant et fidèle, un bon fils et un père exemplaire. Il ne conteste pas avec les dieux qui le
55 l’heure présente que le conjecturer. Mais il est bon de ne pas oublier que l’unité de notre civilisation ne repose pas ent
56 e. Si nous combattons ce danger des dangers, en «  bons Européens », avec une bravoure qui ne recule pas devant les tâches in
57 . Car l’esprit seul est immortel.295 Un autre «  bon Européen », qui fut longtemps le père autoritaire de la pensée des li
58 u qu’elle soit tempérée par la seconde : que ce «  bon  » choix est fait suivant les lumières que l’homme en question possède
59 en question possède au moment donné, et qu’il est bon qu’il en soit ainsi ; car, s’il devait choisir (même librement) selon
60 -elle pas, désormais, de repenser pour l’Homme le bon usage de ses conquêtes ? D’autre part, après une avance aussi décisi
61 que. Par exemple dans la vie intellectuelle. Tout bon intellectuel allemand, anglais ou français se sent aujourd’hui à l’ét
62 t organisation — et une organisation, si elle est bonne , est également bonne pour tous les hommes ; et partiellement croissan
63 ne organisation, si elle est bonne, est également bonne pour tous les hommes ; et partiellement croissance liée à celle de la
64 e que la raison pour laquelle l’anglais est un si bon langage poétique, c’est qu’il combine en lui tant de sources européen