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vanche, beaucoup pensent : « Tout cela est bel et
bon
, mais que fait-on et que pourra-t-on faire en temps utile ? » La paix
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eurs bien vus des pouvoirs, de quelques boursiers
bons
élèves ; et quelques phrases bien plates sur l’indispensable solidari
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ualification professionnelle. Il suffit d’être un
bon
militant pour devenir professeur d’université. À Sofia, Petko Kounin,
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es, pédagogues, sportifs même… Nous sommes sur la
bonne
voie. Mais deux dangers subsistent : les centres de coordination se s
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ue manière ce qui est encore pensé comme juste et
bon
par nos orthodoxies diverses, par la morale bourgeoise, ou par la sag
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adres et les structures de sa vie sociale sont en
bonne
partie détruits. Autrefois, le fils d’un drapier devenait drapier, le
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dit n’importe quoi, parce qu’on n’a pas fait une
bonne
analyse de la situation. Quand Sartre dit aux étudiants : « Cassez l’
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ré : « Le pouvoir personnel finit toujours mal. »
Bon
. Mais qu’en est-il du pouvoir impersonnel ? Le cas des quatre Républi
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ifeste d’abord comme une erreur. Il appartient au
bon
maître de distinguer l’erreur due à la maladresse de l’« erreur » qui
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ce intime d’une personnalité, et dans laquelle le
bon
maître voit alors la manifestation d’une originalité. Seule, l’Europ
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nséparable liberté-responsabilité, qui définit le
bon
citoyen européen, correspond très exactement le couple originalité-co
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couple originalité-communication, qui définit le
bon
artiste européen. L’éducation européenne, qu’il s’agisse de civisme o
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ui traversent avec une glorieuse indifférence une
bonne
douzaine de nos frontières actuelles. Elles relient des cités, des fo
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serait également faux de penser que la nature est
bonne
, l’homme mauvais. Toute une série de catastrophes dans les six premie
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ersonnelle des hommes qui s’y livrent : sinon une
bonne
machine électronique, convenablement informée, ferait beaucoup mieux
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ition de toute existence communautaire et de tout
bon
travail en commun, l’on sera conduit à préférer la multiplication de
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une place, par exemple : s’il en trouve une très
bonne
, il sera satisfait, et cessera de mettre des annonces dans le journal
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és quotidiennes. J’en conviens. Mais n’est-il pas
bon
de s’arrêter quelquefois — et l’inauguration d’aujourd’hui nous en of
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de entier, l’Occident se met donc à douter de son
bon
droit, et à diviser ses forces en deux camps : d’une part, ceux qui s
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une expérience intime de ces problèmes depuis une
bonne
dizaine d’années, tient en trois points : 1. Création d’un Conseil eu
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jours, pour ne rien dire de mes nuits, depuis une
bonne
quinzaine d’années. Mais ma vision peut-être « suisse », en tout cas
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aisément être multipliés. Mais ce ne sont pas de
bons
exemples de dialogue. Ils ont produit des créations qui furent parfoi
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des affinités électives. Et je n’attends rien de
bon
de la confrontation d’équipes d’experts disciplinés, chacune cherchan