1
ulture ? — « L’homme qui a une vocation n’est pas
bon
à autre chose. Israël portait dans son sein l’avenir religieux du mon
2
s. On ne saurait en dire autant du langage de nos
bons
écrivains. Car non seulement il est mal entendu par la grande masse d
3
nt leur force et leur délicatesse d’appel. Et les
bons
écrivains, qui n’ont pas d’autres armes, se voient privés de tous moy
4
vacances à la mer ! C’est avec ça qu’on fait les
bons
fascistes, les bons nazis, les vertueux komsomols, les petits bourgeo
5
C’est avec ça qu’on fait les bons fascistes, les
bons
nazis, les vertueux komsomols, les petits bourgeois disciplinés. C’es
6
e l’opinion que je puis avoir sur la valeur ou le
bon
droit relatif des deux régimes — un parallèle entre la dictature sovi
7
en affirmations volontaires que l’on donnera pour
bon
argent alors qu’elles ne sont guère qu’une sorte de spéculation sur l
8
’attache à distinguer dans leur régime ce qui est
bon
et ce qui est mauvais. Je n’ai pas le goût de me poser en conseiller
9
imes, leurs partisans finissent par me répondre :
Bon
ou mauvais selon vos idées, c’est ce régime qui nous a délivrés de la
10
concevoir un principe d’action créatrice, ou une
bonne
guerre d’agression qui lui permette de doubler le cap de la désespéra
11
une science nouvelle, et qu’en tout cas il serait
bon
de mettre au point avant que l’État ne s’en mêle… ⁂ Il faut penser a
12
Kierkegaard, — il y a aussi les fins lettrés, les
bons
esprits, les professeurs, pour lesquels la pensée est un art d’agréme
13
que vas-tu faire de ton cerveau ? », nous dit ce
bon
esprit au nom de beaucoup de sa sorte. Ce qui revient à dire : « Si c
14
Mais nous ne partons pas pour plaisanter avec les
bons
esprits. Qu’est-ce en effet qu’un esprit distingué ? Et de quoi peut-
15
l’origine réelle du concept de dictature que nos
bons
libéraux voudraient attribuer à je ne sais quel satanisme dont ils se
16
eur : j’ai dit que je me bornerais à l’examen des
bonnes
raisons, non des excès de la pensée distinguée.) Cependant, l’homme e
17
e la logique interne du désordre régnant, il sera
bon
d’insister quelque peu sur les suites politiques qu’elle implique. Je
18
e plutôt par la petite bourgeoisie, l’affaire est
bonne
encore, et même à moindres frais. Laisser le monde aller son train se
19
fin leur sens, même chez ceux qui les utilisent à
bon
escient. C’est ce dernier trait qui est grave. En vérité, c’est cette
20
Que le style s’ordonne à sa fin, et non plus à de
bons
modèles. Et qu’il rappelle à la situation, au lieu de rappeler des so
21
ur n’avoir pas à reconnaître que Staline était en
bon
train de le substituer à l’élan révolutionnaire des Internationales.
22
’ahurissant exemple. Du moins a-t-elle eu cela de
bon
: les écrivains qui ont décidé tout récemment de renoncer à l’usage d
23
ar chacun voit que ce ne sont pas les communistes
bon
teint de l’Union des écrivains soviétiques qui sont « engagés » par l