1 hoses qui, elles, sont en train d’arriver pour de bon , bien moins catastrophiques et d’autant plus sérieuses, et nous ne po

2 on. À cette consternante absence de politique, de bons esprits de notre temps imaginent d’opposer l’utopie d’une mondialisat

3 enser d’abord, mais aussi l’excès même des choses bonnes en soi et nécessaires : trop de gens dans des villes trop grandes, tr

4 non renouvelables et des effets polluants ? À la bonne heure ! Mais l’inconvénient de la technique est qu’elle exige pour ch

5 ur la matière et sur la vie, il n’en fera rien de bon en fin de compte — car il ne peut prévoir qu’à brève distance dans le

6 y remédier, si toutefois ils sont rétribués. (Le Bon Samaritain ne serait pas compté dans ce qui permet de mesurer le prog

7 t qu’il s’agit d’améliorer » dont nous parlent de bons apôtres, mais une duperie monumentale, dont on ne peut plus guère dou

8 nce-Ringuet affirme pour sa part40 que « l’un des bons procédés qu’on étudie actuellement » serait la vitrification. Quant a

9 ens, déjà ?) sont arrêtés. — Mais « l’étude d’un bon procédé » nous met-elle à l’abri des radiations du strontium et du pl

10 el seraient : L. Leprince-Ringuet affirme « qu’un bon procédé qu’on étudie serait la vitrification ». Un an s’écoule, et le

11 ew York en trois heures et demie au lieu de sept. Bon . Mais les quelques dizaines de PDG et de membres du jet-set qui en « 

12 tat totalitaire et de la guerre totale — tous les bons esprits sont d’accord, de la Révolution jusqu’à nous. Hegel énonce le

13 n Italie, de l’ascète astucieux en Espagne, de la bonne moyenne-pas-gênante en Suisse, de l’Ours en URSS. Mais c’est en Franc

14 ière finesse, ils estiment que nulle vérité n’est bonne à dire, à part les « vérités d’État », qui sont des mensonges calculé

15 bout de course. Cela n’est pas nécessairement une bonne nouvelle. L’État-nation ne peut durer sans la guerre, mais l’humanité

16 ent après deux ou trois siècles d’application des bons esprits. Voilà le sérieux nouveau, Futilité urgente. Ces fées donnent

17 tte société les éléments que l’on considère comme bons , et l’on en compose un système en équilibre permanent, à l’abri des m

18 du Moyen Âge dans l’anarchie du Bas-Empire, et à bon entendeur salut ! Les défaites résultaient du vice des gouvernants, e

19 une impossible connaissance, dans l’espérance. Bon usage éventuel mais abus actuel de la prospective « scientifique »

20 prolongées, des retraites anticipées, choses fort bonnes en soi, mais que l’État n’accorde qu’au prix du droit d’aînesse des c

21 nde et constante ambition a été de construire une bonne machine routière. » Tel fut le « Chemin de Damas » du petit paysan, e

22 de la création”, comme dit Guglielmo Ferrero. Le bon peuple s’extasie. Il ne peut voir la duperie : ce jeu du chat et de l

23 e, les mains dans les poches de mon pardessus. Un bon tireur l’eût descendu très facilement. Mais ce bon tireur ne s’est ja

24 on tireur l’eût descendu très facilement. Mais ce bon tireur ne s’est jamais trouvé dans cent occasions analogues. « Voilà

25 lémiques : à savoir que je tiendrais l’homme pour bon , en tout cas pour meilleur qu’il n’est (et qu’eux ne sont, apparemmen

26 ropéen des libertés civiques et politiques. Du bon usage de l’État Il y a un bon État, concevable et possible, et mêm

27 olitiques. Du bon usage de l’État Il y a un bon État, concevable et possible, et même réel : l’histoire en a connu pl

28 inscrit dans la constitution, mais pratiqué. Le bon État suppose deux conditions majeures : il doit être à la fois limité

29 i usurpe les attributs d’un tout. Limitation : le bon État fait le ménage de la communauté. Il tient ses comptes, règle ses

30 e la personne à la fois autonome et solidaire. Le bon État n’est pas le gouvernement, qui est l’affaire du souverain — peup

31 puritaine dans l’exercice des libertés reconnues bonnes . Sous sa forme extrémiste, elle dura trente-deux ans (1848-1880), sou

32 es Églises. Et parmi ceux qui ont osé, et sont en bon train de devenir les vivantes réfutations des meilleurs arguments que

33 r unité de base le quartier. Ce n’est pas un très bon substitut, puisqu’un quartier de grande ville, en général, n’est pas

34 station de démocratie n’est concevable qu’avec un bon réseau de télécommunications. Démocratie directe et téléphone sont l’

35 que soient leur parti, leur talent, leur volonté bonne ou mauvaise, feraient pareil ou pire ; et ce qu’on devrait leur repro

36 leur reprocher serait seulement d’être là où, si bon que l’on soit, on ne peut faire que du mal, parce que c’est le systèm

37 re, qui en fit le titre de son plan d’une société bonne et heureuse, signifie « le pays de nulle part » ou « le non-pays ». C

38 strielle équilibrée. Voilà qui sera déterminé, en bonne partie, d’une manière largement irréversible, par les mesures que nou

39 aient d’autre tort que de l’être). D’ailleurs, la bonne ou mauvaise foi des gens de parti ne change rien à leur action concrè

40 l ne suffit pas de casser des œufs pour faire une bonne omelette. La non-violence est le processus de la création organique,