1 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
1 s incultes du potager, de chaque côté d’une allée bordée de rosiers. L’allée aboutit à une porte de bois à deux battants, à de
2 icable en cette saison. Nous suivons des sentiers bordés de tamaris jusqu’aux dunes. Elles ne sont pas bien hautes, ces dunes,
3 t venu se mettre en boule dans la plate-bande qui borde la maison, sous ma fenêtre. Il soufflait très vite, il avait l’air ma
2 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
4 rès les blocs, s’étend la zone. Je longe l’avenue bordée de marronniers qui la traverse. À droite et à gauche, des ruelles s’e
5 palissade mal jointe. Quelques échoppes de foire bordent le trottoir, débits de boisson, de tabac, légumes défraîchis. D’une a
6 sfait ? Pourquoi pas cette vie aux allées droites bordées de gazon ras, en teintes plates et pâles comme le lavis d’un architec