1
ffigie passionnément triste et dominatrice. Large
bouche
aux lèvres serrées, l’inférieure creusée comme d’un sanglot retenu, e
2
ement contre la lumière, et les yeux, entre cette
bouche
et ce front, disent d’un sombre et méditant regard le mot suprême de
3
lut. Cependant que les hommes les frappent sur la
bouche
. Kierkegaard fut de ces croyants dont la vocation prophétique, pareil
4
ou ses apparences raisonnables. Le témoignage de
bouche
, dont parle saint Paul, l’allégation des motifs derniers, voilà le se
5
ent. Le visage est vision et expression : œil et
bouche
; il est aussi élaboration et exécution : front et menton. Si vous vo
6
aminez le rapport qui unit le front au menton, la
bouche
aux yeux : la personne n’a pas d’autre siège, elle est ce complexe de
7
cette vision ? La lèvre inférieure de cette large
bouche
que la moustache ne réussit pas à nous cacher, trahit une sensualité
8
le, dans le renflement de la joue au niveau de la
bouche
.) Quel est, en somme, le rôle de l’expression, sinon de montrer surto
9
d’annoncer leur foi. « C’est en confessant de la
bouche
qu’on parvient au salut », dit saint Paul. IVRépercussions collect