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enteur. C’est l’avenir ou l’éternité qui ouvre la
bouche
pour dire quelque chose, écoute, attends… Peut-être que déjà la parol
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ers, dont le nom seul est une injure dans tant de
bouches
, — une injure dans le vide, d’ailleurs, car ceux qui l’utilisent igno
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, qui ne connaît pas son auteur. Qui parle par sa
bouche
? Il règne dans ses Hymnes une sérénité presque effrayante. Vient le
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faire la bête dès qu’il s’agit de l’âme. Dans la
bouche
de certains, cela prend l’air de je ne sais quelle revanche du médioc
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ns et des touffes de gamins qui regardent avec la
bouche
ce qui se passe à l’intérieur d’une enceinte de toiles tendues au-dev
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ne au jour américain ! Sur le grand fond sonore à
bouche
fermée des usines de l’autre rive, les sirènes des ferry-boats poussa