1 règne au cœur du monde moderne, et la « pensée » bourgeoise a réussi ce tour pendable de la faire passer pour le bon sens même. L

2 irconstances qui la molestent durement : l’espèce bourgeois cultivé que sa culture dispense de penser. En vérité, ces gens-là n’o

3 au social, si l’on accepte l’héroïsme. Un siècle bourgeois comme fut le dernier, n’osait imaginer de « réalisation » que sociale

4 héros est toujours seul. Par définition. Quant au bourgeois seul, cela ne se peut concevoir, n’a jamais existé5. Le bourgeois n’é

5 cela ne se peut concevoir, n’a jamais existé5. Le bourgeois n’étant donc jamais un héros, n’entreprendra jamais la « réalisation 

6 telligents et énergiques certes, avec les valeurs bourgeoises qui nous ont valu la dernière guerre, nationalisme et doctrine de l’É

7 ’est même peut-être la première fois que les mots bourgeois et seul se trouvent accolés, donnant cet aspect d’erreur typographiqu

8 pect d’erreur typographique… Étymologiquement, le bourgeois est le contraire du solitaire. 6. C’est dans ce sens que, parlant du

9 saurait être conçu à la manière des intellectuels bourgeois , dans l’abstrait, c’est-à-dire comme un système intéressant, abstract

10 vous faites. » Alors que la formule d’une éthique bourgeoise est au contraire : « Faites comme tout-le-monde, et pensez ce que vou

11 excité. Il apparaît alors comme le héros du monde bourgeois . Il incarne à la puissance infinie le goût du néant — le refus de la

12 refus de la vocation — qui caractérisera le monde bourgeois aux yeux de l’historien personnaliste, encore que très peu de bourgeo

13 l’historien personnaliste, encore que très peu de bourgeois aient eu conscience d’avoir ce goût. Mais son opposition si frénétiqu

14 ence maladive, la situation typique de l’éthos du bourgeois  : l’isolation. Ses tentatives d’évaluation s’entre-détruisent et n’ab

15 ous avertit que cette œuvre appartient au monde «  bourgeois  », au monde de la pensée sans mains, et des mains privées de pensée ?