1 1934, Politique de la personne. Introduction — L’engagement politique
1 sme a montré à nu ces prétentions, mais les États bourgeois n’ont plus guère à lui envier qu’un degré supérieur de logique dans l
2 1934, Politique de la personne. Introduction — Ridicule et impuissance du clerc qui s’engage
2 rine et de l’action proclamée par toute la pensée bourgeoise aboutit à la conception brutale d’une politique stalinienne ou fascis
3 u’une espèce de liberté sous conditions. Le clerc bourgeois , chez nous, se croit encore tranquille. On ne le laissera plus tranqu
3 1934, Politique de la personne. Introduction — Le vrai pouvoir des intellectuels et son usage
4 comme telles par les masses aussi bien que par le bourgeois . Deux-cents pages de plus ou de moins n’y changeront rien, dit le bon
4 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
5 imés par une foi constructive que bien des jeunes bourgeois railleurs devraient leur envier. C’est juste. Aussi bien la question
5 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (D’après une discussion)
6 leur « esprit » ne soit qu’une forme de l’esprit bourgeois , une dernière survivance du spiritualisme, de la « belle âme », et, p
6 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
7 la vraie nature de la société moderne. Aux grands bourgeois libéraux, philanthropes et déjà démocrates, qui croyaient sincèrement
8 it inhumain. Il condamna d’abord le « spirituel » bourgeois parce que ce spirituel produisait en fait le prolétaire. Puis il affi
9 n accumulant siècles sur siècles. Le matérialisme bourgeois , repris en charge par le marxisme, empêche la Révolution de s’arrache
10 du Parti19, c’est lui qui fait trembler les bons bourgeois , précisément parce que, contre lui, ils se sentent privés de défense
11 e capitalisme est bien à l’origine de l’idéologie bourgeoise , on a pu montrer aussi20 qu’un fait spirituel, la Réforme, avait été
12 primauté de l’économique est au fond une croyance bourgeoise , une de ces croyances jamais avouées mais réellement agissantes qui d
13 is réellement agissantes qui définissent l’esprit bourgeois , et que le marxisme n’a fait que formuler brutalement et systématiser
14 , valable tout au plus contre certaines critiques bourgeoises , ne suffit plus maintenant, et ceci à cause de deux faits nouveaux, q
15 me a repris à son compte la critique du spirituel bourgeois . Il a su utiliser le rappel à la réalité économique proclamé par Marx
16 tre qu’une réédition standardisée de « l’esprit » bourgeois — dont justement nous étions reconnaissants à Karl Marx d’avoir montr
17 ges du « clerc parfait », et de l’approbation des bourgeois les plus vilipendés par le marxisme dans sa période critique virulent
18 dence évoque encore autre chose que la séparation bourgeoise et rationaliste entre la pensée et l’action, l’esprit et la matière.
7 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Note sur un certain humour
19 u’il s’agisse de la masse, des prolétaires ou des bourgeois , la seule méthode qui réussisse est la violence. L’idéalisme et la ré
8 1934, Politique de la personne. Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
20 L’abîme devient flagrant. Il serait temps que nos bourgeois vaguement chrétiens s’en rendent compte clairement. Nous avons longte
9 1934, Politique de la personne. Idoles — Fascisme
21 synonyme de méchant homme, d’ennemi du peuple, de bourgeois brutal. Réaction sans doute sympathique, mais dont je crains qu’elle
22 tique, d’un anti- « grand capitalisme » de petits bourgeois , bref — d’un fascisme. On dit à l’homme du peuple : tout ce que tu cr
23 du fascisme n’apparaît pas à la majorité des bons bourgeois . Les fusillades, les passages à tabac et l’huile de ricin les indigne
10 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
24 âme même. On nous donne à choisir entre un régime bourgeois odieux, raté, dont beaucoup meurent — et d’autre part une espérance,
25 une duperie manifeste. Je les entends menacer le bourgeois  : mais je ne vois pas en quoi la tyrannie du matériel qu’ils prônent
26 du pain, et croient ainsi triompher à la fois des bourgeois , et de la vérité humaine de nos doctrines antibourgeoises. Mais ils n
27 c.), condamnation de l’individu, de la « pensée » bourgeoise (la pensée sans douleur !), des méthodes policières grâce auxquelles
11 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
28 dante. Mais elle ne l’est guère plus que celle du bourgeois attaché à son bas de laine ou prisonnier des assurances. Pour nous, l
12 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
29 nt. Beaucoup proclament la faillite de la culture bourgeoise , aucun ne renonce à y faire figure honorable. Aucun ne rompt, aucun n
30 lculent, jusque dans leur désir de scandaliser le bourgeois . Il n’y a qu’une façon réelle de mettre les pieds dans le plat : c’es
31 s par le marxisme, le fascisme, et le libertinage bourgeois . Dans la révolte de la personne contre l’État, il n’y a pas seulement
32 e dureté et plus de chaleur d’âme que la jeunesse bourgeoise d’après-guerre. Elle ne va plus à la recherche du bonheur, elle ne s’
33 e qui le déshumanise, et dénudé de son hypocrisie bourgeoise . Une révolution qui part à l’aventure aboutit toujours au fascisme. P
13 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Tactique personnaliste
34 d’une pauvreté qui ne se mesure pas à l’aune des bourgeois , qui se révèle par les témoignages de la liberté qu’elle assure. Ordr
14 1934, Politique de la personne. Appendice — Liberté ou chômage ?
35 evue68 la morale du travail sur laquelle le monde bourgeois prétend fonder la dignité humaine. Nous dénoncerons sans cesse l’hypo
36 ourra plus être longtemps masqué par le moralisme bourgeois ou « quinquennal ». Il n’y aura jamais de liberté possible, efficace,
37 est qu’il a tout infecté, ou presque. La mystique bourgeoise du travail-vertu, associée à une conception purement quantitative de
15 1934, Politique de la personne. Appendice — Loisir ou temps vide ?
38 é du spirituel » n’a pas d’autre sens pour nous. Bourgeois et marxistes partent de la nécessité du gain, — gagner sa vie. Nous p
39 rossier — « Je gagne mon bifteck » — de la morale bourgeoise , et de l’idéalisme socialiste, démocratisation du confort moyen et de
16 1934, Politique de la personne. Appendice — Groupements personnalistes
40 de la Réforme. Il n’en reste pas moins que, toute bourgeoise qu’elle soit et qu’elle apparaisse aux yeux du monde entier, la Franc
41 tit nombre par leur combativité. Si la démocratie bourgeoise , militaire, cléricalement anticléricale, parlementaire et « progressi
42 xisme, en tant que réalisation extrême des idéaux bourgeois , et du fascisme, en tant que fixation brutale du capitalisme en crise
43 timent patriotique originel ; refus de la culture bourgeoise et de la distinction commode qu’elle suppose et implique entre la pen
44 point de vue, pour le plaisir stérile des clercs bourgeois . C’est ici la question de la tactique qui se pose, en même temps que
45 lle que la déterminent le capitalisme et l’esprit bourgeois , — le lieu enfin d’un ambitieux effort de reconstruction culturelle.
17 1934, Politique de la personne. Appendice — Ni droite ni gauche
46 a doctrine et de l’action — fondement de l’esprit bourgeois sur le plan éthique et culturel, fondement sur le plan politique, des
18 1934, Politique de la personne. Appendice —  La Révolution nécessaire
47 ordre actuellement établi, qu’il se dénomme ordre bourgeois ou dictature. Ce processus peut apparaître assez paradoxal. Pour en d
48 ffit pourtant d’étudier la marche des révolutions bourgeoise et prolétarienne qui instituèrent ce désordre. L’Esquisse en décèle a