1 1942, La Part du diable (1944). L’Incognito et la Révélation
1 laïque, morale du devoir kantien et des routines bourgeoises excluant le Dieu personnel, nous accuse et nous prive en même temps d
2 1942, La Part du diable (1944). Le diable démocrate
2 s du Malin. Nous avons éliminé de notre existence bourgeoise le sens du tragique, pour nous tourner exclusivement vers la recherch
3 s notre camp n’a pas été le fait de la démocratie bourgeoise , mais de chrétiens comme Niemöller, ou de révolutionnaires mystiques.
4 plutôt que de le dominer, qui définit l’attitude bourgeoise et l’esprit général de nos démocraties. À les prendre dans leur ense
5 iés sur les mœurs totalitaires. Notre incrédulité bourgeoise a été l’une des meilleures chances d’Hitler. 15. Dans sa tête on tie
3 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
6 ée par la bourgeoisie est tributaire de la morale bourgeoise  : elle reste hélas au niveau de l’ennemi. Sa condamnation de la moral
7 e et de l’insignifiance qui signalaient la morale bourgeoise . La guerre actuelle balaye tout cela, mais nous laissera Les Sept Pil
8 nser Kierkegaard lorsque, dans son petit Danemark bourgeois , pieux et confortable, il écrivait ces lignes prophétiques ? Il assis
9 ient contre les paniques de l’instinct. La morale bourgeoise est trop faible. Quand les romanciers attardés attaquent encore ses é
4 1942, La Part du diable (1944). Le Bleu du Ciel
10 a liberté de l’homme responsable. Mais combien de bourgeois apeurés s’obstinèrent à voir dans Hitler, cet homme des masses, « le