1 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
1 États, légiférait et nommait les magistrats. Les bourgeois conservaient leurs libertés et leur participation aux biens communaux
2 outumes, de leurs commérages et de leurs préjugés bourgeois . S’il est probable que la mauvaise humeur de Goethe était en partie
3 , le droit civil et pénal. La période paisible et bourgeoise qui va de 1848 à 1914 permit à la Suisse de se consacrer de plus en p
2 1953, La Confédération helvétique. Les institutions politiques
4 ente. C’est ainsi que l’on distingue la commune «  bourgeoise  » comprenant les descendants des familles fondatrices, et la commune
5 obe les agrégés de plus fraîche date. Seuls les «  bourgeois  » ont droit à l’administration et à la répartition des revenus des bi
6 s régions, de la paysannerie, des ouvriers et des bourgeois . « Ce qu’il y a d’intéressant à noter, écrit encore M. Siegfried, c’e
7 embre de la commune religieuse, ou de la commune “ bourgeoise ”, ou encore en membre de telle ou telle localité. » Cette dernière re
8 parti agrarien (ou parti des paysans, artisans et bourgeois ), et le parti des Indépendants. Les radicaux ont été les plus nombreu
9 olitique, et l’on ne voit pas pourquoi les partis bourgeois persistent à se qualifier de « nationaux » pour se distinguer d’elle.
10 éventuellement, à rapprocher les socialistes des bourgeois . On le voit, le tableau des partis en Suisse ne présente rien de très
3 1953, La Confédération helvétique. Le peuple suisse et le monde
11 ux et bruns de peau. Dans la vie courante, grands bourgeois ou paysans, ils parlent leurs dialectes, dont ils possèdent au moins