1 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Introduction. L’érotisme et les mythes de l’âme — Soulèvement des puissances animiques
1 en cultivé — homme ou femme — formé par la morale bourgeoise , d’ailleurs croyant ou non, plus ou moins respectueux de la science e
2 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Introduction. L’érotisme et les mythes de l’âme — Parenthèse sur le sens des mots
2 suivent, je n’utilise jamais les termes de morale bourgeoise et de puritanisme comme des injures, ni comme des épithètes nécessair
3 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Introduction. L’érotisme et les mythes de l’âme — Pour une mythanalyse de la culture
3 sse plus de réalités psychologiques que la morale bourgeoise ne voulait en connaître, et que le puritanisme n’en tolère. Or ces ré
4 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Nouvelles métamorphoses de Tristan
4 ux seuls tabous moraux de l’époque victorienne et bourgeoise , et aux succès des analystes et des marxistes, qui vivent à leurs dép
5 ouse l’american way of life, en la personne d’une bourgeoise accomplie, que pour l’amour fou de sa fille. Mais cet amour est impos
6 jorité des sociétés humaines connues, les classes bourgeoises de l’Occident constituant l’exception la plus remarquable. Ils sont b
5 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Deux princes danois. Kierkegaard et Hamlet
7 ui révélait, de ramener son fiancé à une vue plus bourgeoise de l’existence et de la religion. Elle minerait son courage, déprimer
6 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes II. Les deux âmes d’André Gide
8 seulement puritaine — entretenue chez les jeunes bourgeois — et non seulement de son époque — entre tabous sexuels et spirituali
7 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Annexes — Post-scriptum
9 n, s’agissant du salut ? Sophisme ! s’écrient les bourgeois . C’est qu’ils ont deux poids et deux mesures. D’une part la chose est