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en cultivé — homme ou femme — formé par la morale
bourgeoise
, d’ailleurs croyant ou non, plus ou moins respectueux de la science e
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suivent, je n’utilise jamais les termes de morale
bourgeoise
et de puritanisme comme des injures, ni comme des épithètes nécessair
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sse plus de réalités psychologiques que la morale
bourgeoise
ne voulait en connaître, et que le puritanisme n’en tolère. Or ces ré
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ux seuls tabous moraux de l’époque victorienne et
bourgeoise
, et aux succès des analystes et des marxistes, qui vivent à leurs dép
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ouse l’american way of life, en la personne d’une
bourgeoise
accomplie, que pour l’amour fou de sa fille. Mais cet amour est impos
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jorité des sociétés humaines connues, les classes
bourgeoises
de l’Occident constituant l’exception la plus remarquable. Ils sont b
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ui révélait, de ramener son fiancé à une vue plus
bourgeoise
de l’existence et de la religion. Elle minerait son courage, déprimer
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seulement puritaine — entretenue chez les jeunes
bourgeois
— et non seulement de son époque — entre tabous sexuels et spirituali
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n, s’agissant du salut ? Sophisme ! s’écrient les
bourgeois
. C’est qu’ils ont deux poids et deux mesures. D’une part la chose est