1 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Châteaux en Prusse
1 rpres. Les chevaux ruisselants s’échappent de nos bras , et nous les poursuivons, le long des grèves, dans les blés. Midi. Au
2 rsonne n’en ayant profité. (Note de 1967.) 3. Bras de mer intérieur qui s’avance jusqu’à Königsberg. 4. Note de 1967 :
2 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais c…
3 main de la maîtresse de maison qui lui offre son bras et l’entraîne dans le bal. Vit-on jamais plus courtoise dérision du g
4 s conclusions du philosophe, on m’entraîne par le bras vers les jardins. Des ballerines de l’opéra dansent autour d’une vasq
3 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
5 ert, dont la statue colossale, sur un rocher, les bras levés, dirige la circulation de Pest. Gül Baba est moins théâtral). D
6 Je les vois frapper le sol du talon en levant un bras , la main à la nuque ; frapper le sol de l’autre talon en changeant de
7 n changeant de main ; saisir la danseuse sous les bras (elle pose alors ses mains sur les épaules du cavalier) et la faire p
8 s danseuses secouent leurs cheveux et tendent les bras en riant pour qu’on les relève. Elles : des Vénitiennes aux yeux de p
9 is non pas désordonnés, et des gestes tendres des bras en balançant vivement la tête. Quand elles parlent, la voix un peu ra
10 chantent avec le corps entier — non pas avec les bras , comme on chante du Verdi —, elles ont des mouvements vifs du buste,
11 ’abandon —, car voici qu’à son tour il s’égare au bras d’une erreur inconnue, ton fantôme éternel, ton « Désir désiré ».
4 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
12 et de tabac, le tout dans une couverture sous mon bras . La ville s’éveille et s’aère. Je me mets à grimper la colline parmi
13 vêtements misérables et je l’accueillis dans mes bras . Elle rêvait, ses mains étaient très douces, et lorsque mes paupières
14 ats les lisières du sommeil. Ou bien descends les bras collés au corps dans l’onde apaisée du souvenir. Sois riche d’avoir c
5 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
15 sse. Philippe Lamour présidait, mèche romantique, bras en écharpe ; il dirigeait alors la revue Plans et son groupe avait pr
6 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
16 uffer la vérité, etc. » La chevelure s’agite, les bras s’agitent, la voix s’enfle. « J’étais au dernier congrès des institut
17 t plus même une chemise entière : les morceaux du bras ayant servi à rapiécer les épaules et le plastron. Le peu d’argent de
7 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — L’été parisien
18 pièces meublées — 2 grandes cours et jardin — un bras de rivière au bas du jardin — la maison donne sur la route en face de
8 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
19 prononce son allocution. En terminant, il lève le bras d’un geste timide : « Et en l’honneur de nos études romanes, Sieg hei
20 extatique. Quarante mille hommes, quarante mille bras se sont levés d’un seul coup. L’homme s’avance très lentement, saluan
21 rée de nouveau s’enfle au-dehors.) Il a étendu le bras énergiquement — les yeux au ciel — et le Horst Wessel Lied monte sour
9 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Conclusions
22 olitique et légal, qui a jeté l’Autriche dans les bras du Führer. Mais c’est l’attraction passionnée qu’exerce une religion
10 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
23 Berne chaque soir avec une petite femme à chaque bras . — À vos ordres, mon colonel ! J’ai toujours été partisan des vacance
11 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
24 x ou trois enfants par cheval, chacun serrant les bras de l’autre et partaient au galop dans toutes les directions, à grands
25 V…, prise d’un accès d’enthousiasme, m’a broyé le bras pour me forcer à crier avec elle d’admiration. Elle me croyait indiff
26 mbent dans l’eau noire. C’est une jeune fille aux bras menus qui, du pont, mais en vain, voudrait atteindre un groupe d’amis
27 élargit. Elle tient la gerbe bien serrée dans son bras gauche, elle est très belle et va pleurer. C’en est trop. Je lui arra
28 ournée vers moi, m’a posé toute la gerbe dans les bras , puis s’est enfuie. C’est une danseuse, me dit le chef steward, la pl
12 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
29 bouger, entre mon fauteuil et ma table — les deux bras du fauteuil touchant le bord de la table — devant un bloc de papier b
30 e émission, celle de la nuit. Pierre Lazareff, en bras de chemise, sort de sa cage vitrée, le crayon sur l’oreille et le fro
31 t. Dans la rue des gens tombent. Le veston sur le bras , on erre dans un bain de vapeur, cherchant les salles réfrigérées où
32 re un soir de New York portant gauchement sous le bras une longue boîte noire, d’où sort un très jeune chien tremblant. C’es
13 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — L’Amérique en guerre
33 es vont s’éteindre. Mais la torche brandie par le bras gigantesque de la statue de la Liberté éclaire, appelle à l’espérance
34 et bien ordonné, quitte à mettre la jambe sur le bras du fauteuil. Leurs images sont frappantes, leurs idées peu formées. M
14 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
35 , il y a trois ou quatre jours, elle me saisit le bras  : — Ah vous ! Je reviens de notre capitale, j’avais des choses très i