1 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur un certain cynisme (septembre 1957)
1 à leur vrai sens, par un paradoxe au carré. Voyez Breton qui ne se lassera jamais de découvrir mages et mystiques de tous les
2 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
2 r les troubadours du Languedoc et romancé par les Bretons . C’était faire trop d’honneur aux seuls tabous moraux de l’époque vic
3 1966, Preuves, articles (1951–1968). André Breton (novembre 1966)
3 uscule humide, presque orageux, et la présence de Breton m’est advenue sous les grands chênes, comme si j’étais sorti ce soir
4 de mourir), Lévi-Strauss, un des fils Pitoëff, et Breton . (Il avait trouvé ce moyen de gagner juste de quoi vivre sans la moin
5 rticles à paraître ces prochains jours. C’est que Breton , pour toute la haine vigilante qu’il n’a cessé de vouer, sa vie duran
6 que qui était l’un des aspects de la poésie selon Breton , autrement dit, de sa religion. Il en tirait une morale ombrageuse, c
7 pu vraiment s’approuver dans leur cœur, parce que Breton ne les avait pas admis et célébrés !) J’ai vu plus d’une scène de ce
8 au Nombre 21) ou une exposition, ou une vitrine ( Breton , Seligmann et Duchamp signèrent celle qui annonçait ma Part du diabl
9 ècle le bénéfice de l’extrême fraîcheur. » Jamais Breton ne s’est mieux défini. Je pense au soir où il déclara qu’il était tem
10 que parurent à New York mes Personnes du Drame . Breton me dit que sa femme en ayant lu quelques chapitres, il avait vu que l
11 cette phrase). « Qu’est-ce que cela peut faire à Breton  ? À chacun sa mythologie. Il fait une religion de son surréalisme… »