1 n particulier et la responsabilité de chacun. Les brigadiers de choc et les miliciens hitlériens s’indignent de ce reproche. Ils n

2 ment païenne. Or, c’est l’épitaphe idéale pour le brigadier de choc. Staline a fait du travail une vertu absolue, qui a sa fin en

3 omme. On me dira que j’exagère, que le travail du brigadier de choc est d’abord un service rendu à la collectivité. Mais cela ne

4 sacrant sa vie au service du plan quinquennal, le brigadier de choc travaille pour des avantages humains, pour assurer un bien-êt

5 maginaient — comme se l’imaginent aujourd’hui les brigadiers de choc — que, le domaine de la production étant illimité, il n’y ava

6 on leur propose ; et c’est ce que ne font pas les brigadiers et les embrigadés de toute farine que nous voyons parader en Europe d