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n particulier et la responsabilité de chacun. Les
brigadiers
de choc et les miliciens hitlériens s’indignent de ce reproche. Ils n
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ment païenne. Or, c’est l’épitaphe idéale pour le
brigadier
de choc. Staline a fait du travail une vertu absolue, qui a sa fin en
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omme. On me dira que j’exagère, que le travail du
brigadier
de choc est d’abord un service rendu à la collectivité. Mais cela ne
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sacrant sa vie au service du plan quinquennal, le
brigadier
de choc travaille pour des avantages humains, pour assurer un bien-êt
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maginaient — comme se l’imaginent aujourd’hui les
brigadiers
de choc — que, le domaine de la production étant illimité, il n’y ava