1 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
1 ouvertes, où passent le vent, une hirondelle, les bruits des champs. 10 juin 1934 Depuis que nous parcourons cette point
2 t qui m’est octroyé pour un petit livre paru sans bruit il y a plus de dix-huit mois. Les hommes sont bons ! Du moins certain
3 e n’ai pas de montre, mais c’est très long. Aucun bruit de voix dans la salle de la caisse. Le client est-il sorti ? Quel peu
2 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
4 t ; à la mesure de l’amitié humaine. J’entends un bruit de bêche sur une terrasse invisible, au-dessous. Je vois un chien qui
5 st sûre. Et on l’entend ! Trois fois par jour, le bruit d’effroyables discussions nous parvient de la cuisine des Simard. Un
6 t », pour s’aider ! 8 mai 1935 Il y a eu du bruit toute la nuit. Vers 2 heures, nous nous réveillons. Une âcre fumée re
3 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
7 e où cinglent violemment de belles autos. Un long bruit de ferraille sur les passerelles, des camions fous et des affiches tr
8 tué, absence qui se confond avec la présence d’un bruit universel ; c’est une lassitude douloureuse et bousculée au long d’un