1 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
1  déchirantes » et sans nom qui font dans l’âme un bruit de vent mortel et caressant ; une qualité métaphysique et passionnée
2 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
2 llages vides aux portes aveugles (j’avais peur du bruit de mes pas). Au hasard, j’ai suivi des sentiers dans les champs de ma
3 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
3 assifs éclatants, le gravier d’une allée fait son bruit luxueux, tout s’éclaire : cent fenêtres, sur la gauche, dans une faça
4 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
4 tter. Trente-sept ans dans cette chambre, avec le bruit de l’eau et cette complainte de malade épuisé après un grand accès de
5 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
5 on s’enfouit comme s’il était le sommeil même. Le bruit de la rivière et de l’écluse proche, — ce sera sa première habitude.
6 ant comme en rêve sur l’herbe où s’étouffait tout bruit . « Ô crépuscule adolescent, disais-je, chasseur au cœur battant, que
7 , déjà brûlantes au matin, dominant la ville, ses bruits de chars, ses cris d’enfants. Je traverse l’odeur des groseilliers, é
6 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
8 ière, une proue grise et ses canons glissait sans bruit , un énorme croiseur défilait, tout l’équipage en fête saluant New Yor
9 monie qui fait venir les larmes aux yeux. Premier bruit de pas dans la rue. Semelles de bois. Une femme de ménage sort ses cl
7 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VI
10 t des cailloux. Avertis par ce précédent, dont le bruit s’élargit à l’Europe, les successeurs de l’Arménien ne sont venus che
8 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VII
11 silence autour de lui, et seul reste distinct le bruit profond des vagues. Il roule maintenant dans l’ombre tiède et abritée