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étatiste extra-gouvernementale. Pour atteindre ce
but
, M. de Rougemont souhaite “une action spirituelle” plus forte, plus r
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hent personne de lire ce livre ! Elles n’ont pour
but
que de faciliter une lecture à tant d’égards urgente et révélatrice.
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« Si l’on veut réellement conduire un homme à un
but
défini, il faut avant tout se préoccuper de le prendre là où il est,
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e que lui », c’est-à-dire qu’il doit connaître un
but
de vie meilleur. S’il est vrai que d’abord, il s’agit de partir de l’
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ence se trouve subordonnée à la connaissance d’un
but
auquel il faut conduire cet homme réel. La direction de conscience pe
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e ou telle situation complexe où il se trouve, au
but
final et simple assigné à sa vie. Or nous voyons au xxe siècle plusi
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Réforme. Essayons de les dégager sommairement. Le
but
unique des réformateurs était de restaurer la fidélité de l’Église à
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eligion sans transcendance, une religion dont les
buts
purement terrestres ne divergent plus du tout des buts de la politiqu
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purement terrestres ne divergent plus du tout des
buts
de la politique, et même se confondent avec eux. Alors il n’y a plus
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était subordonné à la charge ; il n’avait d’autre
but
que d’en faciliter l’exercice. C’est pourquoi l’on disait : Noblesse
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notre union. Or, pour s’unir, il faut d’abord un
but
commun. Il faut ensuite sacrifier à ce but ses intérêts particuliers,
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ord un but commun. Il faut ensuite sacrifier à ce
but
ses intérêts particuliers, ses préjugés, et son confort. C’est tout.
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ers, ses préjugés, et son confort. C’est tout. Le
but
commun ne fut jamais plus clair. C’est le maintien et la rénovation d
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ixes, tandis que moins d’un tiers est consacré au
but
de l’œuvre. Je vois une revue d’art et de littérature consacrer des m
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se, comme ceux qui savent que la vie n’est pas le
but
de la vie, qu’elle ne mérite pas de majuscule, et qu’elle est quelque
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époque, est d’avoir su conduire leur vie vers un
but
qui transcende toutes nos activités. Fougueux et appliqué dans sa pei