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’entrer dans la CEE. Parce que l’AELE n’a que des
buts
économiques, n’a jamais voulu viser à autre chose qu’à des avantages
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qui fonctionnait mieux en étant centralisé. Notre
but
était, toujours, de servir les parties composantes. Lors de la Campag
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ique de production, qui tienne compte de certains
buts
généraux que l’on donnera à la vie. Ce serait une révolution complète
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ces par rapport à la notion du profit en tant que
but
suprême, privilégie les besoins collectifs par rapport à la consommat
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la première, qui a détourné la révolution de son
but
: c’est elle qui doit le lui rendre. Moyennant une ou deux mises au
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un parti contre un autre, indépendamment de leurs
buts
allégués. Ce besoin et ce goût stimulent sans aucun doute, provoquent
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ermet à la Société ou à la cité de s’ordonner aux
buts
derniers de l’homme. Or s’il est vrai que ces buts — universels et pe
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uts derniers de l’homme. Or s’il est vrai que ces
buts
— universels et personnels — transcendent toute communauté, ce n’est
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« librement », c’est-à-dire selon les lois et les
buts
qu’elle se donne : c’est l’industrie. Et alors pointent les questions
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s nécessités naturelles à la mise en question des
buts
mêmes de la vie, tel est bien le résumé de l’évolution humaine — jusq
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» qu’elles ménageaient, mais aussi et surtout les
buts
ultimes que nous visons. Car toute politique implique une idée de l’h
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, qui est le ressort du jeu en même temps que son
but
, puisqu’elle nourrit les tensions constitutives d’une cité faite pour
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chacun de sa ou de ses disciplines, vers un même
but
. Nous sommes en convergence, pas encore en symbiose, mais elle est po
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s d’aménagement du territoire qui se donnent pour
but
de réduire les disparités économiques nationales (Sud-Ouest français,
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e d’un chef d’État, d’un parti au pouvoir. Or, le
but
principal d’une région, contrairement à celui d’un État-nation, n’est