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is comme personne. La personne est appelée par un
but
et marche vers ce but en inventant son chemin. C’est un chemin unique
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personne est appelée par un but et marche vers ce
but
en inventant son chemin. C’est un chemin unique et sans précédent, un
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mme la clef de voûte de mon œuvre : une Morale du
but
où se concentre l’essentiel de mon éthique d’homme et d’écrivain.
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toujours ce que c’est ; il faut le découvrir. Le
but
est très loin en avant, dans l’infini, l’Absolu, Dieu, comme on veut
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tures nationales [commentaires] (1982)a Un des
buts
principaux de notre colloque était d’examiner pourquoi certaines nati
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on Hofmannsthal, Hermann Broch, Musil, enfin last
but
not least, la psychanalyse avec Freud et Adler. C’est une chose absol
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ans le prochain. Ce qu’il faut voir, c’est que le
but
de la société n’est pas du tout d’assurer à quelques-uns la rentabili
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u’il serait tout à fait illusoire de donner comme
but
à la jeunesse de s’emparer du pouvoir des États-nations parce qu’elle
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ations ; one cannot meet complexities in advance,
but
one can overcome complexities as one proceeds. » Vous avez tous compr
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ociétés, qui m’engagent plus ou moins et dont les
buts
sont très différents, les unes en Amérique, les autres en Europe, en
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nalement, en une fédération mondiale. Quel est le
but
général de tout cela ? C’est la paix. Si vous voulez absolument un my
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us le courage de réagir, jamais il n’a montré les
buts
d’une action libératrice, ni les finalités de l’esprit, seules capabl
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, garant de la paix, nous assure-t-on. « Les deux
buts
du Parti, écrit Orwell, sont de conquérir toute la surface de la Terr
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e pensée indépendante ». Pour réaliser le premier
but
, il faut trouver « le moyen de tuer plusieurs centaines de millions d
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erre, c’est la Paix. Voilà donc le premier grand
But
atteint. Quant au second, qui est de rendre impossible non seulement
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n d’ajouter : « au bénéfice de qui ? et pour quel
but
final ? » Cette question des Finalités de l’informatique est la seule
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e vois que deux réponses possibles : — ou bien le
but
est la puissance de l’État et des pouvoirs économiques et militaires
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militaires ; c’est donc la Guerre ; — ou bien le
but
est la liberté des personnes à la fois libres et responsables : et ce
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s 400 pages de notes. Ça s’intitule La Morale du
But
, titre qui a mis en fureur des sociologues français que j’avais renc
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ouvaient cela insensé. Ma thèse était que seul le
but
peut dicter les moyens, qui ne sont que les moyens de le rejoindre. C
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t l’accepter, car tout le monde sent qu’il y a un
but
absolu (même si l’on ne sait pas exactement le définir), et ce doit ê
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s exactement le définir), et ce doit être le même
but
pour tous les hommes. Moi, ça m’allait très bien d’appeler cela Dieu.
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vent faire le même chemin pour aller vers le même
but
, qui est l’Absolu, puisque chacun part d’un endroit qui est sans préc
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ait une télé-création parce que commandée par mon
But
, non par mon passé, mes gènes, mon milieu… C’est téléologique pour ch
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out de suite après, je me mettrai à La Morale du
But
, ou plutôt, je reprendrai l’invention de cet ouvrage qui condensera
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jeu, ouvrage qui devait introduire La Morale du
But
, mais pour le moment, j’y ai renoncé… Êtes-vous toujours en rapport
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ent à peu près la même conception, dictée par des
buts
collectifs, l’impérialisme de l’État ou de la Race substitué à celui
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venter son chemin vers Dieu, c’est-à-dire vers le
but
commun, le but suprême de tous les hommes. Vous dites dans L’Avenir e
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in vers Dieu, c’est-à-dire vers le but commun, le
but
suprême de tous les hommes. Vous dites dans L’Avenir est notre affair