1
in, l’Europe unie ne saurait être conçue comme un
but
en soi, comme un nationalisme agrandi et transposé aux limites géogra
2
de l’Occident ? Je ne vois que des imitateurs. Le
but
des Soviétiques, à les en croire, est de rattraper l’Amérique, qui es
3
surtout, l’oubli de l’unité, l’étrange oubli des
buts
finaux de l’existence dans lequel nous voyons s’enfoncer, inexorablem
4
t l’évanouissement progressif de la conscience du
but
commun, des fins dernières de l’entreprise, qui se perdent dans les n
5
s, ou presque plus, de langage commun, et que les
buts
finaux s’obscurcissent, il faut bien voir que cela veut dire aussi, t
6
tre ces deux aspects de la personne totale, jadis
but
et module de tout l’effort de l’Université au plein sens de son nom (
7
pe, il nous faut décider si notre union aura pour
but
la puissance collective ou la liberté des personnes. Il nous faut le
8
us connaissons ont choisi la puissance comme seul
but
réaliste de la société politique ; le reste — la justice, la paix, la
9
e nouvelle des finalités politiques. Donner comme
but
de la Cité européenne la liberté non la puissance, un mode de vie qua
10
n question du sens même de nos vies, et des vrais
buts
de nos activités communautaires et personnelles. Si sérieux que soien
11
rd. Ce qui leur manque le plus durement, c’est un
but
transcendant, c’est un sens de la vie, maintenant que la guerre n’est