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trer dans l’ère de la Terre unifiée, qui était le
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de nos travaux diserts. Nous y touchons, Messieurs, vraiment — il ne
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, l’absence d’idée maîtresse, de grande vision du
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, de volonté. J’entends bien que l’opinion se trompe et méconnaît vos
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alistes, qu’ils le disent, qu’ils proclament leur
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, et tout changera dans un instant. Il s’agit d’une révolution, qui es
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un tel destin. Groupez-vous. Dites au moins votre
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! Nous sommes plusieurs millions qui n’attendons qu’un signe. o. «
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t clair. Seuls, ceux qui veulent passionnément le
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se résoudront aux compromis vitaux. Quant à ceux qui n’ont point cett
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su des élections ait quelque chose à faire. Qu’un
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concret soit assigné à ses travaux. Je n’en vois pour ma part qu’un s
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t l’époque fera ce qu’elle pourra… Après tout, le
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de la société n’est pas la société elle-même, mais la personne, c’est
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ma jeunesse, j’ai longtemps joué comme gardien de
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dans les équipes de football du gymnase puis de l’Université de Neuch
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photo où on le voyait habillé comme un gardien de
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, en train de bloquer un ballon. Au dos de celle-ci, il avait écrit de
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all. Il jouait, lui aussi, au poste de gardien de
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dans une équipe. Nous étions donc trois écrivains de la même générati
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et jouant, tous trois, en qualité de gardiens de
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. C’est tout de même étonnant. Si vous deviez définir le rôle du sport