1
fait partie de l’éloquence. Et l’éloquence est le
but
du discours, dont le sujet n’est que le prétexte. Je constate. Je con
2
3 Si l’on veut réellement conduire un homme à un
but
défini, il faut avant tout se préoccuper de le prendre là où il est,
3
é par son égoïsme. Elle ne prend pas la mort pour
but
, mais bien la vie, et cette vie-ci. Elle accepte le moi et toutes ses
4
ntions sur le fond du débat, c’est-à-dire sur les
buts
et les méthodes du Conseil de l’Europe, les deux conceptions qui se s
5
suivra ceux qui marchent, ceux qui ont su voir le
but
et qui ont osé lui donner son vrai nom : fédération. Les progrès surp
6
peser de tout son poids sur ses élus ? Montrer ce
but
et préparer les voies reste la mission décisive du Mouvement européen
7
surgir des instituts13 dont les programmes et les
buts
se ressemblent, mais qui, souvent, s’ignorent mutuellement. Partout s
8
conde, c’est que le ressort intime, mais aussi le
but
final de la culture occidentale, consistent en une seule et même chos
9
énuante. Pour le brahmane, pour le bouddhiste, le
but
est d’effacer l’individu, la différence, de tout fondre dans l’Un san
10
abeau répondait déjà par cette grande phrase : Le
but
de la société n’est pas que l’administration soit facile, mais qu’ell