1 us, la vie résulte d’un conflit permanent, et son but n’est pas le bonheur, mais la conscience plus aiguë, la découverte d’

2 contre un prétendu « bloc américain » n’a d’autre but que de masquer ce fait brutal : la Russie ne veut pas d’une Europe fo

3 nos travaux doivent se fonder et qu’ils ont pour but ultime de promouvoir, nous pouvons passer maintenant à une descriptio

4 Quatrième principe. — La fédération n’a pas pour but d’effacer les diversités et de fondre toutes les nations en un seul b

5 ndispensable à tout régime démocratique. Un grand but commun Le refus sur deux fronts n’est pas une politique. Quand il est

6 s où est la grande affirmation centrale, le grand but de cette drôle de paix ? À quel plan nous vouer ? À quelle doctrine n

7 et d’une droite qui revendique les libertés : le but , l’essence de la pensée fédéraliste étant précisément de trouver les

8 Ce que je sais, c’est notre volonté, et c’est le but précis que nous visons tous, à plus ou moins brève échéance. Nous avo

9 ses et les structures de la fédération qui a pour but de la sauvegarder. Je sais bien ce que certains vont me dire. On me d

10 ope d’aujourd’hui que la culture y soit encore un but , une fin en soi et non pas un moyen. Ailleurs, comme vous le savez, e

11 s ont tort, s’ils croient un instant que l’un des buts de la fédération soit de faire la guerre à la Russie. Mais le croient

12 Europe et la fécondité de sa culture. Et l’un des buts de la fédération, c’est de la sauver. Mais par suite de la collusion

13 de les prendre au sérieux. Plus tard, une fois le but atteint et la fédération consolidée, rien ne les empêchera plus de se

14 ion des droits de la personne, qui doit rester le but principal de l’Union exige l’institution d’une Cour suprême, instance