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ne je lui, Fors par un herbé dont je bui Et il en
but
: ce fu péchiez. La situation dans laquelle ils se trouvent est donc
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us forte que la passion même. La mort, qui est le
but
de la passion, la tue. Mais l’épée nue n’est pas encore l’expression
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assion fatale, mais au contraire il est devenu le
but
, la fin désirée pour elle-même. Et la passion n’a donc joué qu’un rôl
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La pierre qu’on lance « sans viser » va droit au
but
. En vérité, c’est qu’on visait ce but, mais la conscience n’a pas eu
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va droit au but. En vérité, c’est qu’on visait ce
but
, mais la conscience n’a pas eu le temps d’intervenir et de gauchir le
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ger » seul capable de détourner l’instinct de son
but
naturel et de transformer le désir en une aspiration indéfinie, c’est
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ne », dira Goethe. Et Novalis : « La femme est le
but
de l’homme. » Ainsi l’aspiration vers la lumière prend pour symbole l
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ccéder à la Lumière. Mais la fin de l’esprit, son
but
, c’est aussi la fin de la vie limitée, obscurcie par la mutiplicité i
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dans un Désir unique, qui aboutit à les nier. Le
but
final de cette dialectique, c’est la non-vie, la mort du corps. La Nu
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et il fallait aussitôt s’en déprendre, puisque le
but
était de brûler toujours plus, de brûler jusqu’à en mourir ! L’être p
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a Femme, être prophétique, « éternel féminin », «
but
de l’homme ». Les Celtes, déjà, tendaient donc à matérialiser l’élan
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ures (mudras) décrites par le hatha yoga ont pour
but
« d’utiliser comme moyen de divinisation et ensuite d’intégration, d’
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simplement une allégorie ». De toute manière, le
but
est le « suprême grand bonheur… la joie de l’anéantissement du moi ».
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ont enlacés, etc. Tous ces préliminaires ont pour
but
« l’autonomisation » de la volupté — considérée comme l’unique expéri
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e jeûne et de macération dont nous connaissons le
but
chez les cathares : l’absorption de toutes les facultés dans la conte
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us savons que c’est la souffrance qui est le vrai
but
de la séparation voulue… Nous rejoignons alors la situation mystique
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dépasser jusqu’à s’unir au transcendant, quand le
but
n’est plus la Lumière, et quand on ignore le « chemin », c’est se pré
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, Dieu n’a rien à faire avec la Nature, il est le
but
de la Nature, l’élément avec lequel elle doit un jour s’harmoniser. N
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se que fut le romantisme allemand. La mort est le
but
idéal des « hommes élevés » de la Loge invisible de Jean-Paul. Elle s
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ythme est moins ample et l’esprit va trop vite au
but
. La France de la Révolution et de l’Empire n’a plus d’énergie disponi
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els : or la passion courtoise n’avait pas d’autre
but
, et son langage n’avait pas d’autre clé. Perdus et oubliés cette clé
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as d’autre clé. Perdus et oubliés cette clé et ce
but
, la passion dont le besoin revient nous tourmenter n’est plus qu’une
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pouvoir). C’est une négation de l’au-delà dont le
but
n’est pas de supprimer les dieux mais de s’emparer de leur pouvoir en
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es réglant les relations des époux, n’ont d’autre
but
que d’augmenter l’agressivité des soldats. Tout cela confirme la liai
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d’hommes qui font de la séduction de la femme le
but
de leurs pensées et la grande affaire de leur vie… Que de combinaison
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nation ; parce qu’elles allaient se donner comme
but
non un intérêt dynastique, mais la conquête ou la propagation d’idées
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e l’amour et de la guerre, soit rompu. Certes, le
but
concret de la guerre fut toujours de forcer la résistance ennemie, en
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lles deviennent l’une pour l’autre l’obstacle. Le
but
réel, tacite, fatal, de ces exaltations totalitaires est donc la guer
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on le voit dans le cas de la passion d’amour, ce
but
est non seulement nié avec vigueur par les intéressés, mais il est ré
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n’est point de « créatures » — alors que le seul
but
de l’amour infini ne peut être que le divin : Dieu, notre idée de Die
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onditions de sa durée. Staline s’est assigné pour
but
prochain de refaire des cadres à sa nation. Car sans cadres, l’économ
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nt contractés dorénavant « au nom de l’État ». Le
but
dernier de l’entreprise ne faisait pas de doute : on en viendrait à n
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lliance humaine ses meilleures chances de durer :
buts
et rythmes de vie, vocations comparées, caractères et tempéraments. S
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rand nombre de qualités possible. Elle nie que le
but
de la fidélité soit le bonheur. Elle affirme scandaleusement que c’es
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vie créée, et il le transfigure en lui donnant un
but
essentiellement spirituel. Se détruire, mépriser son bonheur, c’est a
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t l’égale de l’homme, elle ne peut donc être « le
but
de l’homme219 ». En même temps, elle échappe à l’abaissement bestial
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que dont elle est née ne sauraient proposer comme
but
à notre vie la maîtrise de la Nature, puisque c’est là le but et la f
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vie la maîtrise de la Nature, puisque c’est là le
but
et la fonction originelle du Démiurge, et puisque le salut est justem