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accélérer le cours des choses ; c’est changer de
but
, et mettre en œuvre au service d’un but nouveau une force intacte, en
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hanger de but, et mettre en œuvre au service d’un
but
nouveau une force intacte, endormie jusqu’ici. Ce n’est pas renouvele
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ngagent les développements futurs et le télos, ou
but
dernier, de l’homme. C’est toujours l’« utopie », qu’on choisit par u
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r l’avenir : « L’Ordre pour base, le Progrès pour
but
. — Le progrès est le développement de l’ordre. — Les vivants seront t
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arx dépasse ce point de vue polémique, oublie son
but
, qui était la destruction de l’État, et d’une thèse purement critique
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pprime l’un, et l’autre disparaît. Qu’on voile le
but
, et l’action se relâche. Mais à l’inverse, que l’on déclare l’esprit
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action au télos de la société, c’est-à-dire à son
but
suprême. Encore faut-il savoir, me dira-t-on, si ce télos lui-même es
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l’homme responsable, et dont l’esprit connaît un
but
auquel il dédie toutes ses œuvres, on voit que la culture la plus pau
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un modèle unique, et qu’elle ne soumet plus à un
but
unanime. Si bien que les écrivains ne sont plus compris du peuple, et
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ont jamais été vivants pour cette génération sans
but
. On nous en donnera donc de nouveaux fabriqués à notre mesure, — et q
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tion et une pratique de la vie qui obéissent à un
but
commun, au service duquel s’harmonisent et se confondent les énergies
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gnorons généralement ; c’est qu’ils acceptent les
buts
de leur travail et que nous nous méfions généralement des buts obscur
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travail et que nous nous méfions généralement des
buts
obscurs, peut-être criminels, du nôtre. 2° Mais le Plan possède-t-il
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rappel permanent, et la conscience actuelle de ce
but
final, suffisent-ils à animer toutes les facultés humaines de créatio
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contenu et la substance de l’empire. Elle est le
but
de tout ordre. Le peuple… est le seul but de toute activité humaine e
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est le but de tout ordre. Le peuple… est le seul
but
de toute activité humaine et de toute institution publique. » — « L’e
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la guerre est déclarée, au nom de doctrines et de
buts
dont certains nous paraissent à jamais incompatibles. Dans les deux c
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agande, identiques dans les deux cas, bien que le
but
soit ici la société prolétarienne, et là la nation allemande, qui son
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Elles poursuivent et incarnent dès maintenant des
buts
partiels, des fins qui ne sont ordonnées qu’à une tactique, non à la
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: notre chemin est éclairé par la seule vérité du
but
. Mais à l’inverse, le but ne nous devient visible que lorsque nous ma
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par la seule vérité du but. Mais à l’inverse, le
but
ne nous devient visible que lorsque nous marchons et avançons sur le
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chaque pas la certitude d’obéir au seul appel du
but
final. Cette méthode sera la mesure que nous cherchons : à la fois in
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après cela jugeons, c’est-à-dire choisissons nos
buts
prochains au nom d’une vérité finale qui ne connaît pas nos contingen
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tuelle qui avait déterminé sa forme et défini ses
buts
lointains. Dès lors, si je constate que la crise matérielle est deven
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reconnaître. Ils ont fondé des religions dont le
but
est la force commune. Ils ont su se créer des symboles grandioses. Ce
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iquent aujourd’hui plus clairement que jamais nos
buts
prochains, nos fins dernières. Si nous condamnons ces religions, c’es
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j’écris ; mais je les juge dans la perspective du
but
final, commun à la culture et aux activités les plus diverses de la n
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utes minutieux, de modestie pédante, dont le vrai
but
, même inconscient, est de rendre suspecte toute conclusion hardie ou
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nts pratiques. Notre critique n’avait pas d’autre
but
que de préciser, par une voie négative, l’intuition d’une nouvelle me
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faut qu’elle soit en mouvement et qu’il y ait un
but
à ce mouvement. Tout mouvement consiste à la fois en un élan hors de
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ppel d’une fin. Soit par ses causes, soit par son
but
. Et lorsqu’on veut décrire un mouvement, ou quelque réalité en mouve
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eu, mal, souffrance, responsabilité de la pensée,
but
de la littérature, valeur de l’argent, sens dernier du progrès matéri
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dont l’enjeu est à venir. Imaginer, c’est voir le
but
, c’est voir le tout, qu’il s’agit de rejoindre et d’accomplir. Voilà
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e sera toujours créer les voies qui conduisent au
but
dernier. Ce sera penser à partir de la fin. L’étymologie grecque du
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l entend exercer ; son lieu et sa date ; enfin le
but
dernier de son activité. Combien d’auteurs contemporains oseraient re
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style de leur action contredit pratiquement leur
but
et les conduit sur un terrain qui forcément n’est pas le leur, n’est
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rvice d’États qui prétendent tous n’avoir que des
buts
défensifs. Ainsi le « style » militaire contredit les fins humaines a
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ion dans l’abstrait la volonté de s’ordonner à un
but
, et d’y soumettre ses moyens. Le style qu’il faut à une pensée commun
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e chaque phrase indique la volonté d’atteindre un
but
, dont la nature commande le choix des mots, le rythme, les figures. Q
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ythme, les figures. Que chaque phrase implique ce
but
, et le désigne par son allure même. Que le style s’ordonne à sa fin,
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, une élite d’hommes porteurs de la conscience du
but
commun et de la volonté de le servir par leur pensée. Le plan précis
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saient. Ainsi se trouve défini très simplement le
but
de la révolution européenne : ramener le centre de toutes choses poli
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s quelques hommes qui cherchent à définir le vrai
but
et les conditions intimes d’un mouvement destiné toutefois à revêtir
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ion que lui pose son prochain. Et à l’inverse, le
but
de la communauté est de permettre à tous les hommes d’assumer leurs r
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ar un lien d’entraide libre, au service d’un même
but
, et non point par une discipline de marche. La vraie communauté unit
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étonné d’y retrouver le principe d’une Morale du
But
dont j’étais convaincu que je venais de l’inventer, et si aujourd’hui