1 1974, Journal d’un Européen (fragments 1974). I. Alpbach : le trentième anniversaire du Forum européen
1 e épanouissement des personnes et des groupes. Le but de l’Europe, ce n’est pas la puissance, mais la personne et la commun
2 esquelles la personne ne saurait s’accomplir. Le but de l’Europe, c’est chacun de nous. C’est chacun de nos groupes, c’est
2 1974, Journal d’un Européen (fragments 1974). II. Strasbourg : la deuxième table ronde du Conseil de l’Europe (« Promesses du xxe siècle »)
3 e point de départ d’un chemin particulier vers le But qui l’appelle, qu’il le nomme Dieu ou l’Absolu, la Vérité ou le Bonhe
4 mme Dieu ou l’Absolu, la Vérité ou le Bonheur. Le But suprême est le même pour tous, mais chacun pour le joindre doit créer
5 i se crée sous les pas qui le foulent, conduit au But qui se révèle lorsqu’on marche vers lui, pas autrement. Il s’agit d’u
6 constater qu’une science libre, non asservie aux buts de puissance des États, peut seule nous aider à sauver la biosphère ;
3 1974, Journal d’un Européen (fragments 1974). III. Venise : colloque sur le fédéralisme, modèle de l’Europe
7 le second membre de la devise : tous pour un. Le but de notre union européenne n’est pas de constituer une puissance mondi
4 1974, Journal d’un Européen (fragments 1974). IV. Berlin : le second Rapport au club de Rome
8 tout juste 180 ans, et nous sommes encore loin du but . On a pu le voir lors des dernières campagnes électorales dans plusie
9 s dans plusieurs grands pays de l’Europe, le seul but politique clairement défini, et commun à tous les partis, reste « l’i
10 tis, reste « l’indépendance nationale ». C’est le but le plus incompatible avec tout ce qu’on appelle ici « l’ordre global