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at civil, mais des communautés définies par leurs
buts
sociaux, culturels, ou spirituels, donc des communautés que j’appelle
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autés électives seront, elles, définies par leurs
buts
consistant à fournir un cadre approprié à l’épanouissement et à l’eng
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’autre part, l’évanouissement de la conscience du
but
commun, des fins dernières de l’entreprise humaine, qui se perdent da
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. Ces deux termes marquent le début et la fin, le
but
, d’une évolution millénaire, qui va du sacré au profane, du collectif
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personne ? 11 novembre 1966 Si on pense que le
but
de la vie d’un homme est de participer à la puissance et à la grandeu
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nsée et action. Si on pense, au contraire, que le
but
de la société est d’offrir à chacun de courir sa chance, de s’exprime
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tel point que l’on a pu soutenir que le véritable
but
de l’école, sous la IIIe République, c’était de former des lecteurs p
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ux, qui à leur tour formeraient des électeurs. Le
but
dernier étant donc de servir l’État et la nation, et pas du tout de s
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urel, spirituel, ethnique, moral, des réalités de
but
commun, ou parfois des réalités d’origine commune. La nation est beau
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’État imposé par les rois sera de plus en plus un
but
en soi, comme l’État-nation moderne. Tandis que l’État composé librem
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État absolu, il n’est pas question de dire que le
but
de la société c’est que les hommes vivent bien et soient heureux, il
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et soient heureux, il est question de dire que le
but
de l’État, c’est l’État, c’est la puissance, du roi ou de l’État qui
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raine, séparée de toutes les autres et qui a pour
but
plus ou moins avoué de vivre, autant que possible, par elle-même (c’e
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la fois le fond commun, la base de départ, et le
but
dernier, l’idéal à rejoindre. Pour les Européens, l’unité, au Moyen Â
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ans le passé plus ou moins longtemps, et c’est un
but
qu’on se donne. C’est un passé qui est peut-être mythique (il l’est c
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plus de sens à la vie. 26 juin 1970 Donner comme
but
à la Cité européenne la liberté, non la puissance, un mode de vie qua
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en question du sens même de nos vies et des vrais
buts
de nos activités communautaires et personnelles. Si sérieux que soien
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és : puissance ou liberté ? 11 février 1977 Le
but
de la fédération n’est pas la puissance, mais l’autonomie des groupes
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, et pour y parvenir (et c’est bien le moyen d’un
but
, simplement), ils forment tous ensemble une ligue, une fédération, un
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ssaire pour les protéger tous et chacun. Donc, le
but
n’est pas la puissance, la puissance est simplement le moyen de garan
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pe, il nous faut décider si notre union aura pour
but
la puissance collective ou la liberté des personnes. Si nous attribuo
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ental pour toute fédération digne du nom ; et son
but
n’est pas de créer une nouvelle puissance qui, finalement, s’exercera
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Ce que nous faisons doit être en accord avec des
buts
clairement définis et assumés. L’avenir est désormais “notre affaire”
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aliste où l’autorité de l’État a précisément pour
but
de garantir les libertés des personnes et des communautés. »
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pable de choisir l’avenir de sa civilisation, les
buts
de cette civilisation. Jusqu’ici, l’effort absorbait le plus clair de
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de savoir d’abord quels étaient ou quels sont ses
buts
humains — sont-ils bons ou mauvais en tant que tels ? — et après, de
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-dire de comparer les réalisations effectuées aux
buts
déclarés ou réels de cette politique. 3 décembre 1971 Il y a les fina
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is un moyen pour les personnes de se réaliser. Le
but
final n’est pas une plus grande puissance de la communauté, mais une
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tion de ces deux tendances, lorsque les fins, les
buts
, clairement conçus et ordonnés, suscitent les moyens adéquats de la p
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n pas à partir d’aujourd’hui, mais à partir de ce
but
cohérent. Ce sont des descriptions positives, éclairantes, qui désign
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riptions positives, éclairantes, qui désignent le
but
à atteindre, qui l’imposent à l’imagination, et qui, par là même, agi
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onne de se réaliser, c’est-à-dire d’atteindre ses
buts
vis-à-vis d’elle-même et vis-à-vis d’autrui. On voit, ainsi, la néces
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ts. Un régime quel qu’il soit se juge d’après ses
buts
confrontés à son efficacité à les réaliser. Ce que Denis de Rougemont
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crisie sociale”, c’est la tendance à affirmer des
buts
démentis par les actes. Ainsi, plus que dans les justifications fourn
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ble se situe entre les deux : la détermination de
buts
clairs suscitant des moyens appropriés pour les réaliser, telle serai
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éalisation des personnes. La personne est donc le
but
de la société, pour cette tradition constante européenne qui vient de
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ire que la politique de la personne découlera des
buts
de toute communauté et de ses conditions de formation et de fonctionn
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orte un peu plus d’exigence dans la recherche des
buts
réels que suit une politique, qui ne sont pas nécessairement, qui ne
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as nécessairement, qui ne sont presque jamais ses
buts
déclarés facilement, alors il faut savoir ce qu’est une bonne politiq
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j’appelle l’école unitaire, l’idée dominante, le
but
dernier qui prime tout quand il y a à choisir, c’est la puissance col
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nt réussi à susciter les moyens pratiques de leur
but
idéal, de leur projection lointaine d’un idéal cohérent. 29 octobre 1
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d’autres politiques, qui précise du même coup les
buts
que l’on veut atteindre ? 8. Fédéralisme 13 novembre 1964 Je ve
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ont le module serait la personne, le module et le
but
final. Je m’explique : ces groupes étaient à la fois contre l’individ
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valeurs consisterait à dire : est-il vrai que le
but
de l’humanité consiste à élever continuellement le niveau de vie du p