1 toutes ces odeurs de la terre, des herbes et des bêtes . Parfois souffle le vent marin ; et des cigognes filent sur nos têtes

2 s, et lorsque l’élan s’appuie, l’arbre cède et la bête se trouve sans défense. Tacite n’a jamais vu d’élan. Ces animaux d’al

3 des générations de bourgeois cultivés à faire la bête dès qu’il s’agit de l’âme. Dans la bouche de certains, cela prend l’a

4 s malins ! qui ont préféré faire tout de suite la bête  : comme cela on est mieux pour donner le coup de pied de l’âne… Écout

5 ières sont des lieux de l’esprit où circulent des bêtes nées du rêve. Et l’Archer vierge y court en vain sur la trace des fig

6 veux pas d’autre. Je suis sûre qu’avec une autre bête , même une bête chevaline, ce serait pareil, maintenant… » Fin févr

7 re. Je suis sûre qu’avec une autre bête, même une bête chevaline, ce serait pareil, maintenant… » Fin février 1934 Su

8 longueur et les conservent pour l’hiver). Vilaine bête à peine ébauchée : un seul os aplati au milieu d’un paquet de chair d

9 exorable s’est emparée de l’espèce, tourmente les bêtes , les essouffle et les esquinte, les rend craintives et méchantes, lou

10 « attente ardente », cette question angoissée des bêtes et des plantes que l’apôtre a su percevoir. C’est la nature qui cherc

11 u insolente, par leurs parfums et leurs odeurs de bêtes sales, tantôt ils me tentaient par cela même, par leur faiblesse offe

12 pour un destin pareil ? Un génie n’est ni fou ni bête , ni sensé ni intelligent. Il ne s’appartient pas, n’a pas de qualités

13  ! Les hommes ne sont pas si méchants, ni même si bêtes . Mais ce qu’il faut voir, c’est que la volonté des hommes n’a jamais

14 eux du monde, comme les pierres et le silence des bêtes . Oui, vous avez du travail. Car il faut bien, il faut que nous compti

15 pour l’âme collective, mais une vilaine et pauvre bête à liquider, dont le sort est déjà décidé. Et le reste intéresse surto