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, les passagers se pressent devant la porte de la
cabine
du capitaine, avec l’espoir d’entendre la radio. Tout à l’heure, comm
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en rade de New York Je me suis éveillé dans ma
cabine
moite avec le sentiment que tout était changé autour de moi. Eh oui !
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s femmes entrevues, ces gerbes de fleurs dans les
cabines
où sautaient les bouchons de champagne, ces corridors étroits envahis
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de nos propres lueurs. Je me suis enfermé dans ma
cabine
. Je constate que j’y puis écrire sans malaise. Mais je n’ai guère à é
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sourd fait vibrer les parois et le plancher de la
cabine
. Le petit ventilateur pivotant sur son axe promène de gauche à droite