1 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
1 e système romain, enfermer les antinomies dans un cadre hiérarchique qui préserve l’homme du désespoir et lui fournisse un éq
2 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Fascisme
2  ; ceux de droite parce qu’il propose un chef, un cadre rigide et logique, une hiérarchie primant les libertés individuelles 
3 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
3 suré par la responsabilité de chacun, mais par le cadre policier de l’État, par l’ambiance morale que créent la Presse et la
4 1940, Politique de la personne (1946). À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
4 rs un appel à l’État dictatorial. Et cet État aux cadres géométriques, avec son armée, sa bureaucratie, sa police, fonctionner
5 mpire romain. Elle s’est peu à peu substituée aux cadres sclérosés du vieux régime. La capitale de l’Empire d’Occident, ses hi
6 éent. On ne leur laisse d’initiative que dans les cadres qu’on leur a prescrits. Elles ne valent rien hors de là, elles ne val