1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où le drame se noue
1 ry. Elle est plutôt comme une grossière erreur de calcul , de montage ou d’aiguillage, c’est-à-dire qu’elle « ne pardonne pas »
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience du temps historique
2 ans l’imagination et la spéculation, puis dans le calcul mathématique. On ne peut plus limiter l’espace ni le temps, et lorsqu
3 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience de l’espace
3 t de toutes nos sciences sans exception. Dans ses calculs de la distance par mer qui sépare l’Asie de l’Europe, il se trompe si
4 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’exploration de la matière
4 apparaît supérieur à l’âge de l’Univers, que les calculs les plus exacts, opérés sur les galaxies lointaines fixent à 2 millia
5 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
5 tractions. Je vois bien l’aspect théorique de ces calculs  ; qu’ils ne s’appliquent vraiment qu’au type occidental de vie ; qu’i
6 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Les ambivalences du progrès
6 s ; et par définition elle échappera toujours aux calculs des cerveaux électroniques. La personne seule connaît la personne che