1
r l’éducation, en réunissant dans le comité de la
Campagne
d’éducation civique européenne, un certain nombre d’associations d’en
2
rs, de servir les parties composantes. Lors de la
Campagne
d’éducation civique, nous avions un appareil administratif minuscule
3
ent arbitraire, fait au hasard des traités et des
campagnes
. Et au hasard de l’ignorance totale de ceux qui ont fait les traités.
4
telle a été dès l’origine l’idée directrice de la
Campagne
d’éducation civique européenne. Et quant à la méthode, elle devait co
5
nts de nos pays ont été réellement touchés par la
Campagne
, c’est-à-dire ont orienté leur enseignement dans le sens d’un civisme
6
rope. Même si tous les enseignants touchés par la
Campagne
avaient tiré le maximum de conséquences constructives de nos stages e
7
tions d’enseignants à vocation européenne dont la
Campagne
veut être l’expression commune et l’instrument. Il faudrait multiplie
8
i l’on veut l’Europe, on admettra l’urgence de la
Campagne
, et l’on fera ce qu’il faut pour qu’elle soit efficace. Pédagogie
9
: nos bourgs et même nos villes ont l’air « à la
campagne
», et la campagne les pénètre. Cette vision champêtre correspond aux
10
ême nos villes ont l’air « à la campagne », et la
campagne
les pénètre. Cette vision champêtre correspond aux clichés (« Le Suis
11
est souvent l’absence de courtoisie ; et dans les
campagnes
, en contribuant à l’enlaidissement irrémédiable de l’environnement :
12
ns dont disposent leurs maires. Trop petites à la
campagne
(étouffantes), trop grandes dans les régions urbaines (vide social),
13
e cité, que l’architecture ; b) l’aménagement des
campagnes
ne peut être laissé ni aux maires, ni aux entrepreneurs, ni aux indus
14
: nos bourgs et même nos villes ont l’air « à la
campagne
», et la campagne les pénètre. Cette vision champêtre correspond aux
15
ême nos villes ont l’air « à la campagne », et la
campagne
les pénètre. Cette vision champêtre correspond aux clichés (« Le Suis