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de la détresse quotidienne d’un obscur pasteur de
campagne
, et dans lequel, soudain, toute l’Allemagne intellectuelle découvre l
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syndicalisme qu’il a créé, le voilà qui lance une
campagne
pour la christianisation du Japon, une autre contre la guerre de Chin
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’innocence animale. La superstition rôde dans ces
campagnes
désertiques ; il y a des fous, des femmes possédées ; des ivrognes qu
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elle il s’efforce de dégager l’âme secrète de nos
campagnes
. Denis de Rougemont n’aime pas les villes, il n’a pas besoin pour écr