1 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
1 tes, monotones et aiguës, comme la pluie dans les campagnes au printemps. Ou encore : comme la lecture des romans anglais, les lo
2 abandonnant sa femme, et se mit à errer dans les campagnes , en quête de l’inspiration qui le fuyait. Il buvait, rêvait, dormait
2 1932, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La pluie et le beau temps (Dialogue dans une tête) (1932)
3 igne à l’être. Longues pluies de printemps sur la campagne recueillie, tempêtes sur les pentes, — beau temps de la présence. Car