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nd astrologue de Berne ! Écoutez-le ! Voix des
campagnes
. — Funeste conseiller des villes ! Vendu ! Vendu ! L’astrologue (
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ie en plein soleil ! — Radoteur ! Une voix des
campagnes
. — Malheur, malheur, malheur au peuple qui croit un mage et ne croit
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nctué d’un coup sur le siège.) …Et voici pour les
campagnes
: Uri, Schwyz, Unterwald, Glaris, Zoug ! (Même jeu.) Le contremaît
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et leur astuce, cela vaut bien les cinq voix des
campagnes
. Maintenant si nous acceptons dans l’Alliance deux villes nouvelles —
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dans leurs rangs à cause des trésors conquis. Les
campagnes
accusent les villes de se tailler la part de l’ours ! Les villes accu
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iller la part de l’ours ! Les villes accusent les
campagnes
de vendre des soldats à l’étranger. Partout l’intrigue et l’anarchie.
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anton représenté.) Le président. — Députés des
campagnes
et des villes, représentants des huit cantons confédérés ! Pour la de
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onter les temps nouveaux ! Nous proposons que les
campagnes
acceptent et reçoivent en notre alliance fédérale les bonnes villes d
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e président. — La parole est au représentant des
campagnes
. Altinghausen. — Nos pères ont combattu pour être libres : Vous v
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es villes renonceront à leur Ligue si d’abord les
campagnes
reçoivent Fribourg et Soleure, et d’autre part les campagnes recevron
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eçoivent Fribourg et Soleure, et d’autre part les
campagnes
recevront Fribourg et Soleure si les villes, d’abord, renoncent à leu
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: La ligue des villes est proclamée dissoute. Les
campagnes
auront part équitable et juste au partage du butin de Bourgogne. Tout