1 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
1 onie, qu’elle vînt d’une ville plus riche que les campagnes , ou d’un groupe de cantons aux intérêts communs. Toutes les fois qu’u
2 it vu de près les effets, comme aumônier dans les campagnes d’Italie. C’était un humaniste, un esprit plus rationaliste que mysti
3 es dans leur pays. Beaucoup rapportaient de leurs campagnes exotiques, de l’or et de l’argenterie, des vaisselles rares, des meub
4 ger. Il s’est perpétué jusqu’à nos jours dans les campagnes . L’épopée du service étranger devait trouver son couronnement en même
5 du général Dufour, triompha au cours d’une brève campagne de la rébellion catholique. « Soldats », avait dit Dufour dans sa pre
6 a Confédération, pas davantage en tout cas qu’une campagne électorale ne divise les États-Unis en un État républicain et un État
2 1953, La Confédération helvétique. Les institutions politiques
7 et par l’histoire. On aurait vu l’oppression des campagnes par les villes, des catholiques par les protestants, des Romands et d
3 1953, La Confédération helvétique. Institutions et aspirations économiques
8 ation. Les cens et les dîmes sont abolis dans les campagnes . À partir de 1848, l’unification économique de la Confédération étant
9 s d’usines, luxueuse illumination des villes. Les campagnes elles-mêmes participent largement à la distribution : 98 % des maison
10 t des étrangers, le phénomène de désaffection des campagnes ne se faisait pas sentir avec autant d’acuité que dans les pays voisi
11 e du paysan, et par suite freine la désertion des campagnes . Il n’en reste pas moins que la Suisse doit importer plus qu’elle n’e
4 1953, La Confédération helvétique. Le peuple suisse et le monde
12 sans trêve et partout recélant des vallées et des campagnes très peuplées. Avec l’irréflexion de la jeunesse et de l’enfance, je