1 la chasteté. Saint Bernard de Clairvaux se met en campagne pour combattre le catharisme, fonde un ordre ascétique orthodoxe, fac

2 son propre manteau, et François s’enfuit dans la campagne , chantant à pleine voix des vers français… Le parfait dénuement avait

3 eurs enfants à l’école d’État, « parcoururent les campagnes complètement dévêtus et chantant des hymnes religieux »110. On les ac

4 tait fort en honneur, et suffisait à terminer une campagne . (Ce n’était plus d’ailleurs un « jugement de Dieu », mais le triomph

5 n effet au combat de Rapallo, tout au début de la campagne , sur les 3000 hommes engagés, plus de 100 furent tués : « Nombre cons

6 ses petites affaires en attendant la partie ou la campagne suivante. »179 Chaque fois que reparaît l’élément de jeu dans la gue

7 nt orageux, il y a la Révolution française et les campagnes de Bonaparte, c’est-à-dire le retour dans la guerre de la passion cat

8 e la guerre devait se fonder sur l’expérience des campagnes de la Révolution et de l’Empire. La bataille de Valmy fut gagnée par

9 de Bonaparte puis de Napoléon d’une part, et les campagnes d’Italie puis d’Autriche, d’autre part. Un certain type de bataille c

10 t pas sans liens : a) La guerre est née dans les campagnes  : elle a même porté leur nom jusqu’à nos jours. Mais depuis 1914, l’o

11 , elle a mené contre lui dans diverses revues une campagne acharnée, à base de pieuse indignation. Elle ne peut me pardonner d’a