1
nostalgie. Des villes naissent lentement dans ces
campagnes
qui ne sont nulle part la « province ». Elles condensent la vie de le
2
. Elles retirent les parcs qui les alliaient à la
campagne
, se ceinturent d’usines, et prennent aussitôt cette fièvre caractéris
3
ses collines, s’aère et redevient une ville à la
campagne
; du même coup, un centre spirituel. Diversités naissant, vivant les
4
rechercher maintenant. Bienveillance — un mot des
campagnes
… Et ces prairies où notre adolescence encore « marche, s’arrête et ma
5
oches du mal de mer. À la nuit, j’ai rôdé dans la
campagne
aux collines basses, d’apparence rocheuse — ce sont des restes de vol
6
uvé dans les poches d’un uniforme au retour de la
campagne
de France.) Les mémoires, en français, d’un des burgraves zu D. qui f
7
tigue à guérir pour qu’on me laisse errer dans la
campagne
. La petite ville au crépuscule, couchée en rond entre les collines, s
8
c les choses que je mesure ma jeunesse : dans ces
campagnes
solitaires, je promène un adolescent. Tout l’après-midi j’ai rôdé, ma
9
sont douces au désir de celui qui marche dans une
campagne
nocturne. Mais plus douce que toutes choses est la rencontre sous un
10
s plus hautes que celle-ci : se promener dans les
campagnes
amies en conversant avec les pensées et les êtres nés de la marche et
11
raire du « mauvais ». Les jours de pluie dans les
campagnes
ont un charme consolant et secret qui favorise la vie intérieure. Lon