1 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
1 nostalgie. Des villes naissent lentement dans ces campagnes qui ne sont nulle part la « province ». Elles condensent la vie de le
2 . Elles retirent les parcs qui les alliaient à la campagne , se ceinturent d’usines, et prennent aussitôt cette fièvre caractéris
3 ses collines, s’aère et redevient une ville à la campagne  ; du même coup, un centre spirituel. Diversités naissant, vivant les
4 rechercher maintenant. Bienveillance — un mot des campagnes … Et ces prairies où notre adolescence encore « marche, s’arrête et ma
2 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
5 oches du mal de mer. À la nuit, j’ai rôdé dans la campagne aux collines basses, d’apparence rocheuse — ce sont des restes de vol
3 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
6 uvé dans les poches d’un uniforme au retour de la campagne de France.) Les mémoires, en français, d’un des burgraves zu D. qui f
4 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
7 tigue à guérir pour qu’on me laisse errer dans la campagne . La petite ville au crépuscule, couchée en rond entre les collines, s
8 c les choses que je mesure ma jeunesse : dans ces campagnes solitaires, je promène un adolescent. Tout l’après-midi j’ai rôdé, ma
9 sont douces au désir de celui qui marche dans une campagne nocturne. Mais plus douce que toutes choses est la rencontre sous un
10 s plus hautes que celle-ci : se promener dans les campagnes amies en conversant avec les pensées et les êtres nés de la marche et
11 raire du « mauvais ». Les jours de pluie dans les campagnes ont un charme consolant et secret qui favorise la vie intérieure. Lon