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liser », par les mains de cent-mille esclaves, le
canal
de la Volga au Don. Mais les journées de Berlin l’ont démasqué comme
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maritime des Occidentaux : l’islam. L’histoire du
canal
de Suez illustre ce dialogue et cette évolution. Le verrou de l’is
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cêtres de la civilisation occidentale, ouvrent le
canal
du Nil à Suez, sous Séthi Ier, en 1300 av. J.-C. ; Sésostris, Nécos,
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Lesseps et à l’Occident.) Trajan fait rouvrir le
canal
, temporairement ensablé. Quelques siècles plus tard survient l’islam.
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. Quelques siècles plus tard survient l’islam. Le
canal
permettant aux Infidèles l’accès de Médine et de La Mecque, villes sa
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jet. » (Voltaire, Essai sur les mœurs.) L’idée du
canal
sera reprise par les Français : projets de Girardin en 1685, de Savar
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çais, envoient des volontaires pour travailler au
canal
. « Suez est le centre de notre vie de travail. Là, nous ferons l’acte
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divise et que l’islam relève la tête, aussitôt le
canal
de Suez se voit de nouveau menacé d’ensablement. Telles sont les donn
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ce, à la liberté des échanges, au progrès dont le
Canal
reste le grand symbole. Mais ses intérêts politiques sont du côté de
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ra donc pas de forcer militairement le passage du
canal
, mais de susciter en Europe des sources d’énergie nouvelles. Si le Pa
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ractère positif et progressiste » de la saisie du
canal
de Suez. Qu’importe le fascisme, pourvu qu’il serve l’URSS. D’ailleur
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la Chine, de l’esclavage dans les pays arabes, du
canal
interdit aux bateaux d’Israël, des subventions de l’Aramco aux fellag
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ents triviaux ou malveillants : il paraît que les
canaux
sentent mauvais et que la Place n’est pas bien régulière. Voyez-vous,
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n n’élit pas un inventeur, un poète, un pilote de
canal
. Le procédé n’est bon que pour les députés. A. — Vous oubliez le prés