1 1938, Articles divers (1938-1940). Le seul espoir (juin 1938)
1 gation du seul principe qui tienne rassemblés nos cantons , et de l’idéal commun qui nous a fédérés. Jamais, depuis le xiiie si
2 1938, Articles divers (1938-1940). Réponse de Denis de Rougemont, lauréat du prix Rambert 1938 (novembre 1938)
2 Dieu merci, ne trouvait pas à s’exercer dans nos cantons paisibles. Pourquoi n’y aurait-il pas de nos jours, sous une forme pl
3 nds la Suisse dans la réalité vivante d’un de ses cantons  ; des hommes qui, à force d’être Vaudois avec génie, soient des valeu
3 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue vu par Denis de Rougemont (8 juillet 1939)
4 tion de Zurich et offerte au public suisse par le canton de Neuchâtel. Il y a quelque chose de profondément émouvant dans ce d
5 e chose de profondément émouvant dans ce don : un canton offre à son pays une œuvre suisse, faite par un des musiciens les plu
4 1939, Articles divers (1938-1940). Le théâtre communautaire en Suisse (1939)
6 utaire de notre Confédération et de chacun de nos cantons . J’essaierai de concrétiser ce point de vue par l’exemple d’un drame
7 ène prévue, et les ressources disponibles dans le canton qui devait prendre la charge du spectacle. Et voici, quelque peu sché
8 à recruter en Suisse, et particulièrement dans le canton de Neuchâtel, qui m’a demandé d’écrire ce drame. Il existe en effet c
9 nts personnes, dans les diverses régions de notre canton , se mirent de grand cœur à la tâche : acteurs amateurs recrutés dans
10 e perdit jamais ses droits, même à l’intérieur du canton  ! Certes, la guerre étant intervenue, tout s’est trouvé suspendu à la
5 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure de la Suisse (1er août 1940)
11 faut de solidarité entre les classes et entre les cantons . Mais là encore, la résistance « aveugle » de quelques-uns sauva la S
6 1940, Articles divers (1938-1940). Autocritique de la Suisse (août 1940)
12 ale », les subsides et les allocations ; mais les cantons les plus conservateurs sont souvent ceux qui, me dit-on, se gênent le
13 nombre et les groupements restreints. Les petits cantons , chez nous, ont voix égale avec les grands, les catholiques avec les
7 1940, Articles divers (1938-1940). La Ligue du Gothard : raisons d’espérer (13 septembre 1940)
14 syndicats et des corporations, pour préparer par canton une organisation professionnelle qui est la première mesure à prendre