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gation du seul principe qui tienne rassemblés nos
cantons
, et de l’idéal commun qui nous a fédérés. Jamais, depuis le xiiie si
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Dieu merci, ne trouvait pas à s’exercer dans nos
cantons
paisibles. Pourquoi n’y aurait-il pas de nos jours, sous une forme pl
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nds la Suisse dans la réalité vivante d’un de ses
cantons
; des hommes qui, à force d’être Vaudois avec génie, soient des valeu
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tion de Zurich et offerte au public suisse par le
canton
de Neuchâtel. Il y a quelque chose de profondément émouvant dans ce d
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e chose de profondément émouvant dans ce don : un
canton
offre à son pays une œuvre suisse, faite par un des musiciens les plu
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utaire de notre Confédération et de chacun de nos
cantons
. J’essaierai de concrétiser ce point de vue par l’exemple d’un drame
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ène prévue, et les ressources disponibles dans le
canton
qui devait prendre la charge du spectacle. Et voici, quelque peu sché
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à recruter en Suisse, et particulièrement dans le
canton
de Neuchâtel, qui m’a demandé d’écrire ce drame. Il existe en effet c
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nts personnes, dans les diverses régions de notre
canton
, se mirent de grand cœur à la tâche : acteurs amateurs recrutés dans
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e perdit jamais ses droits, même à l’intérieur du
canton
! Certes, la guerre étant intervenue, tout s’est trouvé suspendu à la
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faut de solidarité entre les classes et entre les
cantons
. Mais là encore, la résistance « aveugle » de quelques-uns sauva la S
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ale », les subsides et les allocations ; mais les
cantons
les plus conservateurs sont souvent ceux qui, me dit-on, se gênent le
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nombre et les groupements restreints. Les petits
cantons
, chez nous, ont voix égale avec les grands, les catholiques avec les
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syndicats et des corporations, pour préparer par
canton
une organisation professionnelle qui est la première mesure à prendre