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prononcé, les lumières s’éteignirent dans tout le
canton
de Genève. Cette panne totale devait durer 21 minutes. L’orateur pour
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ces mots, les lumières se rallument dans tout le
canton
. f. « Recherche pour un modèle de société européenne », Documents po
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ys basque, la Catalogne, le Sud-Tyrol, le Nord du
canton
de Berne (où l’on parle français), les conflits entre Flamands et Wal
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% de Confédérés, c’est-à-dire de Suisses d’autres
cantons
, et les autres sont des étrangers. Donc, il n’y a plus qu’une minorit
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enève, qui votaient à 80 % chez eux dans certains
cantons
, au bout d’une génération votent à 20 à 25 % comme les Genevois l’ont
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alle (et, comme on l’a su plus tard, dans tout le
canton
de Genève). Naturellement, les auditeurs ont cru à une mise en scène,
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naissais au presbytère de Couvet, Val-de-Travers,
canton
de Neuchâtel, le 8 septembre 1906, à quatre heures vingt du matin, il
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res s’éteignirent dans la salle — et dans tout le
canton
de Genève. Croyant à un effet de régie théâtrale, l’auditoire applaud
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alisme à une alliance entre États souverains, nos
cantons
; et ramener du même coup la vie fédérale à la lutte pour « l’indépen
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e fédérale à la lutte pour « l’indépendance » des
cantons
contre les « empiètements » du pouvoir fédéral. (Être fédéraliste, po
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que la Confédération a été fondée par « les trois
cantons
primitifs », tandis que dix-neuf autres « cantons », au cours des siè
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cantons primitifs », tandis que dix-neuf autres «
cantons
», au cours des siècles, seraient « entrés » successivement dans le p
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pacte et celui-ci n’a pas été conclu entre des «
cantons
», inexistants au xiiie siècle, mais entre trois communes (Gemeinden
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mplexe à l’alignement schématique de vingt-cinq «
cantons
et demi-cantons souverains » en 1848. La formule créatrice de la Suis
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uverains à une alliance confédérale. (Le terme de
canton
comme État souverain est relativement récent : inconnu avant le xiiie
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(Les chemins vicinaux à la commune, les routes au
canton
, les autoroutes à la Confédération…) Or c’est exactement cette soluti
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es dimensions, à la Confédération et non plus aux
cantons
— conformément au principe même du fédéralisme vivant ! Deuxième er
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i débordent la capacité communale et appellent le
canton
, puis dépassent le canton et appellent la Confédération, il en existe
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mmunale et appellent le canton, puis dépassent le
canton
et appellent la Confédération, il en existe aussi, et de plus en plus
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primitive — fondé sur les communes et non sur les
cantons
, sur des régions et non sur des États —, ne pourra devenir modèle eur
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re. D’abord en renonçant à la fiction récente des
cantons
comme États souverains, seuls sujets juridiques de la fédération. Ens
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llaient dépassait rarement les limites d’un petit
canton
suisse. Est-ce que cette dimension avait une influence ? C’est une év
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ie, en partie du Bas-Valais, du Val d’Aoste et du
canton
de Vaud, tout ce qui est autour du Léman. Une quantité de problèmes s
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tout de notre industrie. On s’agite au niveau des
cantons
, où l’on dénonce « l’emprise croissante de Berne », particulièrement
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utre part. À la commune, les chemins vicinaux, au
canton
les routes intercommunales, à la Confédération les voies nationales.
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êter ses effets aux frontières historiques de nos
cantons
confédérés. Si le fédéralisme authentique consiste à accorder la dime
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e notre fédéralisme ne peut se maintenir dans nos
cantons
qu’à la seule condition de s’étendre, quand il le faut, au-delà des l
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lers fédéraux ne sont pas du tout l’émanation des
cantons
, mais qu’ils sont désignés en fonction de leurs compétences particuli
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e la vie publique. S’ils devaient représenter les
cantons
, il en faudrait 25, comme l’actuelle commission du Marché commun, à B
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Suisse s’était formée par la fédération de trois
cantons
. Leurs chefs auraient fait un beau pacte en latin, l’écrivant de la m
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ri, de Nidwald et de Schwyz. On ne parlait pas de
cantons
, mais bien de communes (Gemeinde en allemand, universitas en latin, c
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te liée très spécialement à Berne. (Une partie du
canton
, d’ailleurs, est de langue alémanique.) Mais elle entretient des rela
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moitié ouest parle français, elle s’est liée aux
cantons
catholiques des Ligues suisses, mais restera longtemps à l’écart de l
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tir de l’Allemagne et de l’Italie. Nos vingt-deux
cantons
décident enfin de se donner une Constitution fédérale. Ils vont la di
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, que l’histoire (intérêts divergents de nos cinq
cantons
au long des siècles), ou encore que l’analogie de régime politique (u
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nstituer. Il sera l’expression de ce que les cinq
cantons
— et surtout les trois protestants — sentiront qu’ils possèdent en co
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beaucoup contribué, on l’a vu, à différencier nos
cantons
. Si ces conflits sont apaisés de nos jours, voilà qui n’est pas dû se
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ion des protestants ne cesse d’augmenter dans les
cantons
à dominante catholique. Ce phénomène sociologique (et non pas proprem
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tion, en 1814-1815, puis en 1861, de rattacher au
canton
les districts qui forment aujourd’hui la Haute-Savoie.) En revanche,
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e est le siège comme elle fut la marraine. Et nos
cantons
gardent leurs séculaires valences (au sens chimique du terme : pouvoi
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e et inconditionnelle fidélité confédérale de nos
cantons
, des inter-relations d’un type nouveau apparaissent désormais possibl
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ouveau apparaissent désormais possibles entre ces
cantons
et leurs voisins français et italiens. Et l’ensemble de ces relations
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ie l’ancien Évêché de Bâle, c’est-à-dire le futur
canton
du Jura. 32. Saint-Étienne, Lyon (4 universités), Grenoble (3), Aost
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s, la Suisse, qui est composée de nombreux petits
cantons
, nous avons eu longtemps ce que nous appelons « Landsgemeinde », l’as
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e nous appelons « Landsgemeinde », l’assemblée de
canton
qui se tenait sur la place publique. Il y a encore plusieurs cantons
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it sur la place publique. Il y a encore plusieurs
cantons
— les plus petits — qui en ont conservé la coutume. Bien sûr, vous al
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peuvent être résolus au niveau, trop étroit, des
cantons
. C’est vrai dans la mesure seulement où les gens renoncent à être res
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s, s’il a prévenu in extremis la guerre entre les
cantons
suisses, c’est par l’autorité que sa vie d’ascète donne au message se
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gérée par celle de la scène, et les ressources du
canton
qui patronnera l’œuvre : une compagnie de théâtre d’amateurs et deux