1 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
1 orité des Suisses d’aujourd’hui, surtout dans les cantons protestants, Nicolas de Flue est une figure quasi mythique, édifiante
2 la vénération du peuple, surtout dans les petits cantons , a déjà mis au rang des saints (bien que la canonisation se fasse att
3 s on lui fait prendre part, il se retire dans son canton natal pour y exercer les fonctions patriarcales de juge de paix, tout
4 n l’année 1486, quinze assemblées de la Diète des cantons n’ont pas suffi pour rétablir l’union. C’est alors que se placent les
5 une menace de guerre civile entre cités et petits cantons . Mais voici l’heure de Nicolas, l’heure qui donnera son plein sens à
6 ndemain de la guerre, Robert Dürrer, historien du canton d’Unterwald. C’est une véritable somme critique de tout ce que la tra
7 de Coire. Ajoutons qu’en 1585, une délégation des cantons réformés se rendit en pèlerinage au Ranft et « sur les lieux consacré
8 qui se trouvent condamner toute la politique des cantons catholiques. On sait d’autre part que l’archiduc Ferdinand II d’Autri
9 nt l’idée confédérale créatrice de la Suisse. Les cantons personnifiés prenaient la parole tour à tour, comme à la Diète (Uri s
10 les richesses étrangères ; Nicolas pacifiant les cantons en rappelant aux « régionalistes » que notre État est d’abord une uni
2 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
11 on parle de « l’indépendance » de la Suisse. 10. Canton de Genève. e. « L’Église et la Suisse », Les Cahiers protestants, La
3 1950, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Europe unie et neutralité suisse (novembre-décembre 1950)
12 ience de la guerre de Trente Ans a montré que les cantons ne peuvent rester unis que s’ils s’abstiennent de prendre part aux gu