1 1962, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Fédéralisme et culture (3-4 mars 1962)
1 ocurer une coopération sans réserve avec d’autres cantons ou pays. Votre congrès ayant pour premier objectif de surmonter cette
2 1962, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’Europe est d’abord une culture (30 juin 1962)
2 s qui en naissent. D’autant plus nous sommes d’un canton , d’un pays, d’un climat religieux ou idéologique, d’autant plus nous
3 1963, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’éloge, l’élan, l’amour, le monde ouvert à ceux qui s’ouvrent, cela existe… (2-3 février 1963)
3 obsessionnel » bloque beaucoup d’esprits dans nos cantons romands. Un seul en a tiré une œuvre forte, c’est Ramuz. Mais il ne c
4 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il faut réinventer l’Université (29 juin 1968)
4 école de médecine peut être trop grande pour tel canton , une école polytechnique pour tel autre : elles exigent la coopératio
5 autre : elles exigent la coopération de plusieurs cantons , ou la dimension nationale. De même, les recherches nucléaires sont t
6 onomie, etc., sont trop chères pour une ville, un canton  : la concentration des moyens au niveau national (voire international
5 1971, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Au défi de l’Europe, la Suisse (31 juillet-1er août 1971)
7 Waldstätten primitifs. Et pas un seul des autres cantons n’a jamais adhéré au Pacte dit du Grütli, qui ne porte que trois sign
8 Conseil fédéral n’est nullement une émanation des cantons , mais le collège de chefs des Agences fédérales spécialisées par leur
9 rd et qui se « généralisa » par la suite aux XIII cantons ligués, puis à l’union de vingt-cinq États souverains différant par l
10 ères, rien ne nous empêchera, Suisses de tous les cantons , de rester ensemble et de continuer à former une communauté : celle d
6 1972, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il faut dénationaliser l’enseignement [Entretien] (8 décembre 1972)
11 sse, où l’instruction publique est du ressort des cantons  ? Mais en 1929 je parlais de mon expérience. Elle était tout à fait s