1 1939, La Vie protestante, articles (1938–1978). Nicolas de Flue et la tradition réformée (1er septembre 1939)
1 ’en va pas de même chez nos confédérés des petits cantons . Et c’est pourquoi les catholiques n’ont pas eu de peine à s’annexer
2 e l’action politique de Nicolas, Pacificateur des cantons et adversaire du régime des pensions, la Contre-Réformation insistait
3 tisanes non dissimulées, les politiciens des cinq cantons catholiques cherchent leur salut dans des soutiens extérieurs, et les
4 ber adjure Zurich de conserver l’ancienne foi des cantons  : mais vous savez très bien que Zurich seule garde le souci de la vie
5 s figures symboliques ou historiques : les treize cantons , des apôtres, des prophètes et des représentants de la hiérarchie cat
6 e à coups de fouet par le prophète Elie. Puis les cantons personnifiés viennent discuter le renouvellement de l’ancienne allian
7 que la Mort ait accompli son Jugement, les treize cantons reparaissent et loue la sagesse du frère Claus. Les cantons catholiqu
8 paraissent et loue la sagesse du frère Claus. Les cantons catholiques reconnaissent qu’il avait eu raison de les mettre en gard
9 t les doctrines qu’on ne met pas en pratique. Les cantons protestants, pour leur part, se repentent de leur orgueil. Et Nicolas
2 1949, La Vie protestante, articles (1938–1978). Printemps de l’Europe (29 avril 1949)
10 i proches, — comme vous circulez aujourd’hui d’un canton à l’autre de la Suisse. Imaginez cette Europe grande ouverte, où les
11 nations ne disparaîtraient pas davantage que les cantons n’ont disparu en se fédérant, mais où les guerres entre nations devie
12 draient aussi impossibles que la guerre entre nos cantons . Imaginez ensuite cette grande Europe aussi décidée que la Suisse à n