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ntant des villes. Altinghausen, représentant des
cantons
forestiers. Haimo, curé de Stans. le messager de Fribourg et Soleur
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Il a rendu de grands services à sa commune et au
canton
. Un assistant. — C’est grâce à son argent que tu t’es fait nommer
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ramassant hommes et femmes, tous pauvres gens des
cantons
suisses et des bailliages. Ils ont appris nos mélodies le long des ro
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ai. Si Dieu le veut, j’écarterai la guerre de nos
cantons
où vous avez trouvé refuge. Mais renoncez vous-même à faire la guerre
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en est bien gardé… Il n’est pas sûr que tous les
cantons
soient d’accord — et ceux d’ici n’écoutent que ta voix, frère Claus !
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urité n’a qu’une seule base sûre : l’alliance des
cantons
entre eux, au nom de Dieu. Si nous gardons le Pacte, nulle puissance,
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le Landamman. Le Landamman. — Nous avons huit
cantons
confédérés. Les villes disposent de trois voix : Zurich, Berne, Lucer
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t le Carnaval de cette année. Les jeunes gens des
cantons
forestiers, ivres de bière mais surtout d’aventures, se forment en co
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n d’eux, un soldat debout, portant la bannière du
canton
représenté.) Le président. — Députés des campagnes et des villes,
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s campagnes et des villes, représentants des huit
cantons
confédérés ! Pour la dernière fois en cette année, nous déclarons ouv
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onsidérant que trop longtemps nos communes et nos
cantons
ont poursuivi leurs intérêts particuliers au détriment de la puissanc
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là pour sauver l’alliance contre les égoïsmes des
cantons
. Que chacun sacrifie à tous ! Altinghausen. — Et moi je dis que n
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— Halte ! Halte ! Haimo. — Députés des huit
cantons
, je vous adjure de par Dieu ! vous assembler une dernière fois ! L
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lisant). — Au nom de la vénérable Diète des huit
cantons
confédérés ! Considérant tous les périls qui nous menacent à l’intéri
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. Toute alliance étrangère est interdite soit aux
cantons
, soit aux partis, et tout subside en nature ou argent, afin que nulle