1 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
1 x : « vivre en la liberté des Suisses et de faire cantons  ». (Fédéralisme calviniste !)
2 1940, Mission ou démission de la Suisse. Neutralité oblige, (1937)
2 ité et notre statut intérieur de confédération de cantons , découlent des conséquences précises dans les ordres les plus divers.
3 pourquoi elle appartient à l’État et non pas aux cantons . De plus, les mesures toutes récentes organisant la couverture des fr
4 Par exemple : les droits des communes et ceux du canton  ; les droits des cantons et ceux de la Confédération ; les droits de
5 s des communes et ceux du canton ; les droits des cantons et ceux de la Confédération ; les droits de la Suisse et ceux de l’Eu
6 es franco-allemandes ne dissociassent le lien des cantons , et l’on avait par trop souffert de la grande politique des voisins.
3 1940, Mission ou démission de la Suisse. Esquisses d’une politique fédéraliste
7 on des Suisses s’élargira. Peu à peu, de nouveaux cantons s’allieront aux communes du Gothard. Un réseau compliqué de pactes re
8 villes aux campagnes. Et chaque fois que l’un des cantons voudra prendre la tête de la Ligue, il trouvera tous les autres unis
9 thieu Schinner — ne pouvait être gouverné par les cantons dépourvus de pouvoir central. Ou bien ce pouvoir aurait dû être impro
10 ivant, par le rattachement sur pied d’égalité des cantons italiens et romands. Notre fédéralisme actuel ne date donc que de 184
11 is se recouvrir exactement. Le noyau primitif des cantons forestiers s’allie aux villes de Lucerne et Zurich ; puis conquiert a
12 par là devient l’allié au second degré des autres cantons  ; Berne ensuite noue des liens particuliers avec Zurich, et d’autre p
13 autorité, souvent décisive d’ailleurs. Plusieurs cantons se trouvent appartenir à deux ou trois réseaux d’alliances, lesquelle
14 on apparition en Suisse à partir du moment où les cantons ont conclu une alliance unique et uniforme, au lieu qu’auparavant cha
15 s grandes dimensions, au-delà des limites de leur canton natal, et sans nul détriment pour ce dernier, bien au contraire. Tand
16 aire en miniature ; ceux qui veulent être de leur canton d’abord ou uniquement et appellent cela « fédéralisme », alors qu’ils
4 1940, Mission ou démission de la Suisse. Appendice, ou « in cauda venenum » Autocritique de la Suisse
17 ale », les subsides et les allocations ; mais les cantons les plus conservateurs sont souvent ceux qui, me dit-on, se gênent le
18 nombre et les groupements restreints. Les petits cantons , chez nous, ont voix égale avec les grands ; les catholiques avec les