1 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
1 aris, et les sirènes d’une fin d’alerte. ⁂ Paris, capitale engloutie dans l’épaisse nuit des campagnes. Mais une nuit sans clair
2 grand cercle entourant une inscription en lettres capitales bien arrondies :   martine je suis aux champs   Paix du village, si
2 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
3 r, de misère, de sagesse, dont le visage de cette capitale plus douce et plus fière qu’aucune autre portait les traces pacifiées
3 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
4 u numéro 20.751 de la plus longue artère de cette capitale , qui s’étend sur 25 kilomètres. Victoria Ocampo, royalement, m’a prêt
5 peut voir les taureaux de concours amenés dans la capitale de toutes les grandes estancias. Certains sont si lourds que leurs pa
4 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
6 a qu’à s’oublier dans l’énergie fusante de cette capitale du matin. 28 novembre 1941 Rêve de la liberté. — Au Cosmopolit
5 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
7 ue les peuples attendent. Il recule devant l’arme capitale … Pas un seul appel officiel14 n’a fait naître une seule grande et vio