1
le tout assorti de sanctions économiques et d’une
capitale
ambulante, changeant de siège tous les cinq ans. Au xviie et au xvi
2
ulture pluraliste. J’ajoute une précision qui est
capitale
: il ne faut pas aller vers l’unité conçue comme uniformité et qui se
3
sentent exploitées par l’État, ses bureaux ou sa
capitale
, et les accusent de colonialisme. Il est certain que la prétention à
4
est vrai que l’union de l’Europe est l’entreprise
capitale
de ce siècle, et s’il est vraisemblable que cette union sera fédérale
5
les décisions de bureaux installés dans une seule
capitale
, et interdire toute allégeance des citoyens à des entités plus petite
6
e l’engorgement déjà presque intolérable de leurs
capitales
. Mais il y a plus : aux crises locales dans telle ou telle nation, pr
7
x régions périphériques les plus négligées par la
capitale
, et cela a conduit à envisager la possibilité révolutionnaire de régi
8
ce économique et culturelle que les bureaux de la
capitale
, la fédération de l’Europe se révélera immédiatement possible. Il se
9
e unique et indivisible44. — De son siège dans la
capitale
, l’État régit souverainement toute l’existence publique de la nation,
10
e métropole régionale, au lieu de l’être dans une
capitale
. Les possibilités pratiques de participation du citoyen à la vie d’un
11
, ou plutôt cette dévolution du centralisme de la
capitale
au rayonnement des métropoles de développement. Le pouvoir de sécuris
12
juridiques entre telle métropole régionale et sa
capitale
nationale, quand le tissu européen créé par les relations de fait ent
13
ors se produira un mouvement de bascule entre les
capitales
du passé et les métropoles du présent, vers l’avenir. Du même coup, l
14
tous ordres entre une région, ses voisines, et sa
capitale
nationale. Lorsque la résultante générale des forces et des liens d’u
15
lais nomment si bien la dévolution du pouvoir des
capitales
aux régions passera globalement du virtuel à l’actuel : mesure de la
16
il le centre du cosmos aux dépens de notre Terre,
capitale
Rome. Puis il n’y eut plus même de centre du cosmos, et alors l’homme